Une missive, laissée pour elle...

Organisateur Nombre de messages : 627 Age : 41 Date d'inscription : 02/06/2006

Alatariel, en arrivant dans son pavillon aux nombreux tissus sombres et très riche, put découvrir, sur son propre lit, un papier blanc, taché de sang, cerclée d'un ruban à l'effigie familliale de la matronne.

Il était évident qu'un message lui était destiné à elle seule...de toute facon, personne d'autre que un y avait véritablement accès.
Avec son amoureuse précaution, elle déroula le parchemin en laissant glisser le ruban sur les draps rouge-vin en veloure, qui fit un son très léger en l'atteignant.

Ainsi, les quelques traits décritures lui furent reconnaissable à ses fines finitions...son assassin lui donnait nouvelles en le language des hauts, celui des souverains souterrains;

Soir, jour, crépuscule ou aube...peu importe le moment, le temps et l'espace dans lequel vous vous trouvez, Matronne, vous tenez en main mes, sans doute, derniers propos pour vous.
Mon nom n'est plus et ne sera plus entendu. C'est mon seul désir...vous ne l'avez jamais prononcé de toute facon. Me nommant votre être, me nommant votre bras de meutre par votre simple désir.

De peu, vous auriez put voir mon visage dans ses ténèbres de nos nuits...mais en peu, cela n'est pas arrivé. Seul mes yeux vous ont été la marque propre de l'affection que je vous ai toujours donné et prouvé dans ma servitude totale.
Je reste toujours à vos pieds, mais je serai l'ombre à tout jamais de vos sombres et, ô tellement, ce qui me fait frissonner d'agir pour le sang qui doit couler. Pour les corps qui doivent être au sol, devenant le froid de la glace.

Je vous apporte d'ailleur nouvelle, que nombreux assassina j'ai ouvertement appliqué dans la renommé de mes gestes.
Personnes que j'ai à peine vu le visage crispé lors de leur tombé dans les ténèbres au nom de notre sombre et frissonnante Déesse, Destymone. J'ai ris de leur mort, et j'ai gouté à leur sang, sans même en oublier leur gout particulier à chacun.

Coulant, chaud dans ma gorge, le sang de nombre de mes victimes.
Dont le renommé Argus, de celui ma ceinture est décoré de sa tête pour son pesant en nombreuses pièces sonnantes. Son sang était incomparable, un peu épaix toutefois, mais sa mort reste dans ma liste des plus audacieux.
Même si je n'ai pas été dans tout le mérite de sa mort totalement...son sang à coulé, Matronne, sans relâche, jusqu'à ce que sa flamme s'éteigne.

De sa mort que de peu de meurtrissures ont atteinds mon corps, protégé, outre mesure, contre les morts-vivants eux-mêmes. Je fus la lame qui transperca le coeur et qui senti le dernier battement y raisonner.

Bien à vous seulement,
"Celui d'ombre qui est d'ombre"

Joueur Nombre de messages : 376 Age : 34 Date d'inscription : 03/11/2006

(est-ce que ton pavillion se situe tout près du campement de Destymone ou bien il est dans l'underdark? ou bien sinon, où est-il ? merci bien )

Invité

(bah ..il est dans la fôret..pas près du campement de Destymone..mais en cherchant ben comme il faut tu peux le trouver, mais faut tu cherche en sale..ou que ter pas mal lockeux...)

Elle éloigna lentement la missive d'elle et alla s'assoir à son bureau et écrivit sur un nouveau parchemin ;

Votre missive entre les mains une seule question me viens à l'esprit; pourquoi ? pourquoi partez-vous ? Une quête, il doit avoir, pour que vous me quittiez si précipitement. Vous aller surement dire que vous ne me quitter point, comme vous avez écrit, mais si l'on ce fit à vos propre mot " vous tenez dans vos mains mes, sans doute, dernières propos pour vous." Cela se rapproche, tant qu'à moi, bien plus d'un adieu que d'une séparation dû à un voyage dans une contrée éloignée. Je ne comprend point les raison de votre départ, mais je vivrais avec ...

Elle était épuisé ...la nuit avait été longue...elle s'endormit la tête entre les mains, sur son bureau..la missive inachevé, prisonnière de sa main, mais le texte était a moitier visible a la vue.

Organisateur Nombre de messages : 627 Age : 41 Date d'inscription : 02/06/2006

Enfin, lorsque la dernière flamme s'éteigni d'elle-même dans le vaste pavillon de sa Matronne, Yruk put oser s'y aventurer sans peine, ni risque. La belle dormant à poingts fermés, il se pencha et pu lire les quelques lignes inscritent de sa main...

Il pensa: "Humm, elle n'a pas tord, mes propos ont portés à confusion. Il faut que jy remédis un peu, mais pour l'instant, seuls de nouveaux mots pourront lui porter garante de sureté..."

Alors doucement, il écrivit ceci:
Ainsi, Matronne, mes propos n'ont que portés confusion à votre grandeur. Veuillez m'en escuser.

Mes yeux seront votre seuls points de recueille...mais vous devrez les voir. Je serai près de vous, dans l'ombre, vous servant...vous n'aurez qu'à y murmurer vos ordres. Je les "éxécuterai". J'aime bien ce jeux de mots..."éxécussion" éxécuterai...

Les moments qui vous conviendront, je serai là. Mais comme je vous l'ai dis...innaccessible...que de peu, ou presque rien. Je le dois ainsi...

(signé d'une goute de son sang)

Sans rouler la missive, qu'il laissa sur le début de celle de sa Matronne, le mâle la prit dans ses bras pour la déposer sur son grand lit.
Il se permit, juste avant son départ, de l'embrasser sur le front, en signe de totale dévossion et protection sans faille.

Puis il se dirigea vers la sorti, glissant dans les ombres, sans croiser le petit rayon lumineux que la lune laissait entrer par la fente.
Il regarda à nouveau Alatariel puis se retourna pour sortir...

Invité

Elle se réveilla en sursaut...prit une fraction de seconde à se remémorer où elle était et vit une écriture qui n'était pas la sienne sur un parchemin...sans prendre le temps de le lire, elle se tourna vers l'entrée de son pavillion..une ombre y était encore présente...elle dit d'une vois mi-forte comme dans un souffle;

-yruk....

Organisateur Nombre de messages : 627 Age : 41 Date d'inscription : 02/06/2006

L'oreille de l'elfe-noir sourcilla à ce son anodin, mais bien perceptible pour lui. Ce nom qu'il ne voulait pas qui soit connu, même qu'il soit oublié "d'elle"... Qu'en adviendra-t-il de ceci? Il voulait resté une ombre, pour les dogmes de Destymone...qui est suite simple et sans déviation, de son apprentissage au sein de la grande famille.

Du coin de l'oeil, il la voyait, là assisse.
Déjà, vous refusez d'accéder à cette seule demande, malgrés le fait que je me suis plié à tous vos ordres depuis ma plus tendre enfance; prononca-t-il en murmure dans un seul souffle.

Il se retourna pour faire face à sa Matronne, sans la regarder dans les yeux et sans être totalement dos à l'entrée.
Que puis-je pour enlever vos soucis, que puis-je pour comblé vos désirs?

Invité

expliquez moi..expliquez moi les raisons qui vous pousse à partir et à ne plus vouloir me voir ou me parler. Peut-être qu'après ces explications, je comprendrais ce qui vous y pousse et je me résignerai.

Elle avais ses mot à voix basse, elle continua de le regarder attendant sa réponse ...

Organisateur Nombre de messages : 627 Age : 41 Date d'inscription : 02/06/2006

Seul un nom s'effacera, pour ainsi resté oublié et perdu dans le temps. Pour ainsi n'être rien, n'être connu que de corps...un corps et une âme sans nom.
Seul est cette demande Matronne.

Je ne serai jamais bien loin pour vous servir.
Sa voix restait comme un souffle, courant dans l'air. Sans vraiment qu'il y ait un son particulier, mais seulement les mots qui devaient être entendus.

Je pourrai même mieux vous servir en quelque sorte.

Invité

(désolé si ça a été vraiment long)

- Vous y croyez vraiment ?...Alors partez ! restez dans l'ombre...accomplissez votre dessein et concrétisez dont le mien d'une même pierre....

Organisateur Nombre de messages : 627 Age : 41 Date d'inscription : 02/06/2006

L'elfe-noir sourit, malgrés le tissu sur son visage...

Croire est d'accomplir, Alatárïel...ca a toujours été ainsi pour moi.
Sur ce...à un autre jour. Je tâcherai de vous donner des nouvelles...sinon...nous verrons.

Sur ces derniers mots, il ne laissa pas le temps à la Matronne de répondre, puis quitta...

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