Hivers, saison morte

«Que veut-elle de moi ? se demandait-il, Pourquoi toujours ces mystères ? Avant tout était bien simple, on me disait quoi faire, je le faisait. Mais bon il faut se concentrer, tout arrive à point à qui sait attendre...n'est-ce pas?»

Les habitants de Vastania pouvaient entendre ces temps-çi, des cris atroces provenant du logis d' Alexander Van Paal, mais jamais il ne sortais, à l'inquiétude de Megnis et de bien d'autres aussi. Mais ce jour là, il étais dehors, il devait bien faire trente en dessous de zéro mais il étais là, tremblant, dans son accoutrement habituel à regarder le ciel de nuit, étoilé de ses milles feux, petits feux, feux mourants au loin, dans le ciel. Si seulement il pouvais trouver quelque chose à faire, un projet pour s'amuser. Certes le passage l'avait bien amusé à entendre raconter, mais il dormais cette fois là, et puis c'est bien amusant trahir et sauver la même personne au cours du même combat mais de là à le faire souvent...non. Il lui fallait un grand projet, quelque chose qui pourrais lui apporter bien des choses, il se pencha alors sur ses livres et son journal, pour peut-être trouver quelconque ressemblance qui pourrais l'aider, mais rien. Une chose attire son regard par contre et il alla voir. Alexander alla seul se promener pour voir si cette arche était encore présente. Mais comment faire pour tout avoir en sa possession...enfin il trouverais bien une façon de remédier à la situation. Il continua à marcher mais bientôt il ne senti plus ses pieds et sa respiration se fut plus haletante, son visage pâlis d'un coup quand il s'évanouhis dans le froid en hypothermie, pratiquement mort, dans la forêt morte en elle-même, sans signe de vie extérieure.

Incertaint, il tendit la main puis la ramena de moitier, avant de la retendre et de finalement la coller sur lui meme et de simplement faire un signe de tête, pareil a celui d'Alexander. Il dit, geste joignant la parole:

-F... Fr... Francois Lester!

Il avait l'air perplex. En fait, debout comme sa, un étranger plus grand que lui cetait jamai bon signe tout seul en foret. Il serait nettement plus sympatique une fois entouré de gens. Malteste en loccurence.

Il se recula de deux pas, en direction de chez le nain et montra le chemin derriere lui, avec son pouce.

-Vous... Vous venez?

lester fit les gros yeux. Il fallait etre fou pour avoir ''confience'' en ... en quoi dailleur? qui pouvait lui sauvez la vie en pleine foret. ... ce devait etre un illuminé.

-En fait j'ai trop froid pour sortir mes mains de mes gants et l'epluché. Je le ferait chez Malteste.

Il reflechit. c'etait bien une oragne. en pleine hiver, dans cette region... humm...

-Dit moi, comment vous etes vous procuré cette orange, monsieur Alexander?

Djada regarda à l.extérieur et vis s' approché deux personnes de la forge ou elle logeait avec ses fils quand il faisait trop froid pour aller joindre le père.

Fatigué de ses nuits courtes à mettre du bois dans le feu pour garder la chaleur. Elle n'avait pas tout suite reconnu les deux hommes dans la pante (pour autant qu'on puisse appeller Lester un homme).

Voyant le chapeau tipique de son ami au cheveux bleu et la toge habituelle d'Alex elle sortie en courrant vers Lester le serrer dans ses bras sans .-

LESTER TE REVOILA

elle lui murmura à l'oreille:

Je suis tellement heureuse de te voir que je t'embrasserais...Mais j'aurais bien trop peur que ta femme vienne m'attaquer d'un rouleau à pâte.

Puis elle lui fit un clin d'oeil et fit un sourire à Alex.

Rebonjour monsieur.

Ensuite, 1 cris strident et étrange sortie de la forge suivit de celui d'un bébé qui pleure. Djada sourit un peu inconfortable de la situation, elle avait laisser la porte ouverte le temps d'aller voir ses amis...

Megnis qui cherchiat Djada, entendit sa voix et la trouva!

Il la surprit par derrière en la chatouillant , si surpris de voir Alexander duquel le temps qui les a séparés eut été long, qu'il en resta ébahi.

Il ne réagissait meme pas aux chatouillement habituels de Djada.

-Bon ou est-il allé?!? DJada tu nous la fait perdre!!!

Dit megnis décu en voyant que son neveu était disparu, et en meme temps un peu sur un ton sarcastique en réprimant djada.

Le petit pretre de resta perplexe au commentaire d'Alexander. Meme si l'homme venait de loin, comment avait il pu parcourir une tel distance en gardant encore fraiche des orabges qui ne poussai qu'en été? Mystere...

-Sa y est. Vous mavez eu! Vous devrez m'expliquer comment cela ce peut. Sa defie toute logique!, lui repondit-il joyeusement.

Avant meme que l'homme est pu lui repondre, la voix de l'elfe qu'il apreciait le plus au monde cria son nom. Il tourna la tete, pour entrevoir une chevelure longue et une visage au trais argenté selancé dans ses bras. Il l'atrapa.

Djada!

Heureux comme tout, il lui rendit, malgé les convenences, sa marque d'affection. Naif et esprit blageur, Lester ne prit pas au second degré ce qu'elle lui chuchota. Le petit ricana simplement. Finalement, il posa chaleuruesment ses mais sur ses épaules, lécartant de leur etreinte, question de voir si elle allait bien.

-Ma Chere Djada! Comment vous...

Coupé par le cris d'un enfant, et il remanrqua en meme temp que l'elfe n'etait plus enceinte, il fit un ''ho'' tout entousiasmé.

-C'est... C'est votre enfant? s'exclama-il.

Il lui repondit un "absolument'' a sa proposition d'aller a la forge et lui emboita la pas. Jovial a l'idée de retrouvé son amie qu'il n'avait vue depuis quelques long mois. Au bout d'un moment, il vit que l'homme qui l'avait inviter a aller dans la forge c'etait eclipsé. Il ne compris pas. Car Alexander était parti sans lui reveler le mystere de l'orange. Il s'enquit:

-En effet, il a disparut. Votre neveu Monsieur Megnis a il peut de vous?

Dans un geste teatrale qui était bien qualifiquatif de sa personnalité, il releva sa main vers son visage, horrifier.

-Ou peut-etre l'aurais-je vexé!?

Non, ce monsieur est étrange comme cela un moment il est là l'autre il n'y est plus dit-elle en allant dans la forge...

(juste quelques jours encore je veus essayer de rapatriller tout les role play de la forge)
parce que la y en a plein en même temps qui y vont et je suis la