Quelle magnifique journée que cette journée! Le soleil rayonnait de mille feux réchauffant la peau blanche de Maria. Les yeux levés au ciel elle traversait la forêt de Vastania. Elle en avait assez de suivre son époux partout comme un caniche. La Oomius avait donc décidé de ce promené seule. Cela faisait un bien fou, le stresse de ces dernier jours l’avait épuisé. D’évidence ces terres n’étaient pas de tout repos, pourquoi Karth si intéressant tant? Pourquoi souhaitait-il rester en ces lieux dangereux? Confuse elle laissa échappé un soupire en relâchant les épaules, il est jeune sans doute est-ce pour cela il se croit capable de changer le monde. Quel jeune homme courageux. Qui plus est il semblait bien s’entendre avec tout les gens de ces lieux, même les hommes de mauvaise fois semble bien l’apprécier. Un petit sourire en coin se dessina sur les lèvres de la femme. Il était évident qu’elle était plus vielle que son mari, elle a 29 ans et lui a peine 17. Comparativement à son cousin elle voulait une vie paisible dans un coin de pays où nulle guerre n’avait atteinte comme Imaginya. En y pensent bien pourquoi avait-elle quitter son pays ? Elle s’interrogea elle-même confuse de ne pas pouvoir y mettre le point. Elle cessa le pas pour regarder autour d’elle, elle se rappela soudainement qu'il serait a cours de vin et Karth avait justement fait des bouteilles. Ne connaissant pas encore bien les lieux elle se rappela en avoir vu non loin de la forge et de l’école de magie. Comme l’école était plus près elle prit cette direction examinant bien les plantes environnante plusieurs serait utile a ses pommades. Elle les cueillit avant de les revêtir dans un tissu et les fourrer dans sa bourse. Une douce mélodie monta a ses oreilles, Blaireau lui revint aussitôt en tête ce barde qui avait longuement voyagé comme elle avant de se retrouver en ces terres hostiles. Elle se releva, quelques plantes toujours en main pour se rapprocher afin de mieux entendre la musique. Maria l’aperçut non loin adossé a un arbre, ne voulant pas le gêner elle continua sa cueillette en l’écoutant simplement, elle ricana silencieusement en l’entendant parfois grogner. Peut-être l’avait-il vu et comme elle n’avait pas envi de la déranger, cela lui importait pas vraiment tant qu’elle pouvait profiter de la musique. Elle s’agenouilla plus près de lui après avoir trouver une plantes intéressante dont elle voulait les racines pour une pommade.