Un rencontre inatendu.....

L’enterrement de Derzus avait eu lieu il a déjà 2 jours, quel était le plan des dieux? La guérisseuse ne savait plus que faire de son temps, elle avait peur de se balader seule car apparemment Lee voulais sa tête. Elle ne savait pas pourquoi c’était tout ce que Rose lui avait dit en fait la sienne et celle de Marcus. Elle avait offert c’est service médicinal pour leur sauver la vie, au final elle aurait du fuir cela lui aurait apporté moins d’ennuis mais non elle avait écouté sa conscience et sauver des vies. Elle ne savait pas dans quel bourbier elle venait de se mettre les pieds mais cela ne faisait que commencer visiblement. Elle serait bien retourner à Imagynia auparavant mais maintenant elle avait une raison de rester malgré toutes les catastrophes qui arriveraient. Maria agrippa le bas de sa robe et monta la cote pour retourner au chemin et quitter les attroupements près de la forge. Elle devait se changer et advienne que pourra! La femme aux cheveux bleus commença sa marche dans la forêt écoutant le chant mélodieux des oiseaux et le doux bruissement des feuilles sous les caresses de la brise. Apparemment aujourd’hui aussi c’était tranquille tout comme hier, cela était étrange qu’après toute cette agitation on entendait plus vraiment parler des gens du mal, comme ils les appelaient ici. En fait pour Maria il y avait pas de différence, il était touts des gens pouvant être blessé sur lesquels elle pourrait pratiquer sa médecine. Qu’il soit noir, est des oreilles pointu, des crocs ou encore autre chose elle sen moquait. Par contre ce qu’elle avait de mal a prendre était qu’on la menace inutilement ou qu’on ce joue de sa vie. En ces moments la il est rare qu’elle vous oublie et vous pourriez même le regrettez plus tard. La journée était belle le soleil brillait haut et fort réchauffant la peau blanche de la femme. A force de marcher sans porter attention a ou elle allait elle se ramassa près d’un monolithe qu’elle avait trouvé avec Soriel. Elle s’agenouilla devant celui-ci et commença a l’étudier se souvenant de toutes les langues qu’elle aurait put connaitre mais rien n’y était similaire en style grammatical, en symbole ou lettrage, structure ou encore autre chose. Elle resta assise a étudier cette objet durant une bonne heure mais rien à faire tout cela n’avait aucun sens pour elle malgré le fait qu’Ernestine leur est traduit elle ne voyait pas comment c’est symbole pouvait ce traduire en cette phrase. Maria se releva mais sans envi de retourner au campement. Elle regarda autour d’elle ne sachant par ou aller. Elle vit un sentier qu’elle n’avait encore jamais parcourut et se décida à l’emprunter. Elle marcha un bon moment dans le silence avant de voir un loin une personne approchée. Elle souhaitait de tout cœur que ce ne soit pas Violin, pas qu’elle ne l’aime pas mais elle souhaitait un peut de calme. Elle continua son chemin dans l’espoir qu’elle pourrait dialoguer avec une personne qu’elle ne connaissait pas encore.

Un moine marchait paisiblement , il avait les main rassemblée ensemble en signe de prière. Tête baisser comme à l'habitude il marchait dans l'espoir de trouvé un âme paisible avec laquelle il pourrait discuter, depuis son arrivée sous ces terres il avait rencontré beaucoup de barbares, tous se faisaient la guerre pendant que lui priait, Ô comme il priant sans arrêt pour que demain sois un jour meilleur, un jour sans guerre ni misère où les gens s'aimeraient une fois pour toute et qu'il pourrait marcher sans crainte ni peur de se faire tuer à vu. Il marcha et récita ces mots qu'il avait rédiger dans ses temps perdu où la solitude l'emporte sur un veille homme qui aspire que de paix.

" Je me perdis dans le brouillard à la convenance de ma folle volonté,
Allons-nous pouvoir exhaler derechef cette euphorie de paix,
Quittez ! Au diable ! Mon cœur, prophète dérasé de toute bonté,
La mélancolie qu’inhale mon âme par traverses, persécutant ce dont je rêvais,
Légions! Où mes frères gîtent, avec des ambitions sans louanges achevées,

Laissez inopinément, les cieux florissant face à la démence mal éludée,
Moi, âme de patricien qui ne tolère plus cet éther démentiel captif de misères démesurées,
Tranquille je fus, hormis les enfers, me moissonnant dans leur tourmente de tourments,

Persécutant l’âge paisible enchaîné dans l’espace absolu où régnaient éperdument,
Respects et sympathies, d’un peuple éminemment honoré par l’itinéraire tumultueux,
Aux combattants fiérots de l’abîme des enfers, persécutant l’aube au gré du vent,
Esprits vicieux habitants, l’éternelle lune de calamité brillante d’un exhaustif creux,


"

La jeune dame cessa ralentit le pas s’attendant a tout. Elle ne voulait pas être attaqué ou blesser donc tel un animal traqué elle examina le moine qui s’approchait d’elle. La guérisseuse avait déjà vu cet homme auparavant. Oui ça lui revenait maintenant, il était présent l’hors de l’attaque d’Argus et ses hommes. Mais elle ne savait pas de quel coté il était même si elle détestait répartir les gens. Ici c’était plutôt difficile de ne pas le faire de toute façon vous n’avez pas a choisir votre camp car les autre l’auront déjà fait pour vous. Maria continua d’avancer lentement vers l’homme capuchonné. Il semblait prier, les mains jointes et la tête basse on pouvait croire qu’il dormait presque en marchant. Elle ne voulut point l’interrompe durant sa transe alors elle évita de lui adresser la parole quoi qu’il l’intriguait vraiment, son visage caché dans l’ombre piquait la curiosité de Maria. Sachant a quel point il est désagréable de se faire déranger lors d’une prière ou appel aux dieux elle évita de le distraire. Maria cessa de marcher une fois près du moine presque a ses cotés. Elle l’entendit marmonner sa prière mais n’ajouta pas mot.

Le moine apperçus la damne , il s'arrêta et leva la tête. D'un ton calme et posé il marmonna, bonsoir , je me nomme alidrana, je ne crois pas vous avoir rencontré auparavant, dites-moi vous n'êtes pas une autre de ces brutes que pour qui la violence est la solution à tout les problèmes ?

Maria inclina la tête lorsqu’il la salua, son geste dura à peine une seconde. Elle fut surprise que l’homme engage la conversation poliment plutôt qu’en la menaçant ses épaules se relâchèrent un peut.

‘’ Ouf, pensa-t-elle, enfin un peut de civisme en ces lieux.’’

Son visage de crispa légèrement quand il la compara a tout les sauvages qui se trouvaient ici. Pourquoi, elle qui n’était pas armer et qui souhaitait simplement offrir son aide lui taperais dedans par pur plaisir? Elle replaça sa chevelure bleue derrière ses oreilles avant d’entamer la conversation avec le moine.

-Par Relin, non je ne suis pas ce genre de personne, ne me comparé pas a ses brutes par pitié. Je me nomme Maria. Que faite vous sur c’est route seul? C’est dangereux par ici pour un moine mais il est vrai que Dalilya nous offre une si belle journée qu’il serait dommage de ne pas en profiter.

L'homme la regarda avec soulagement, enfin quelqu'un avec qui il pourrait parler et ainsi se faire comprendre , ce n'était pas facile pour lui d'arriver sous ces terres. Ce n'était pas la première fois que cela arrivait, il avait l'habitude de se promener de terres en terres pour profaner des messages de paix pour que le monde tranquillement pas vite aille mieux.

Quand elle eu fini, le moine ajouta encore une voix d'un ton doux et léger : " Je suis content de vous rencontrer Maria, je connais les dangers sous ces terres, je ne porte point d'arme mais les gens s'en moquent, ils tuent par pur plaisir. Pourtant il y a quelques personnes censés comme vous et moi, si seulement tout le monde suivait la voie de shursha nous nous porterions bien mieux. Comme cette vielle damne que j'ai rencontrée, un âme si paisible, j'ai été enjoué par sa vision des choses. Mais vous dites moi, que faites vous seule ? Recherchez vous la paix intérieur ?

La voie de Shrusa, si seulement il pourrait exister une voie ne mêlant pas les valeurs et les points de vue, une voie que tout le monde pourrait emprunter sans haine et sans raison de provoquer des conflits. Les dieux et leurs dogme en causaient tant mais pourquoi leur en vouloir, pour la plupart il ne souhaite qu’un monde meilleur. Encore la c’était une question d’opinion. Quel monde fou, ce n’est pas demain que la guerre cesserait, ni que les hommes vivront d’amour.

- Parlez-vous d’Ernestine ? Une dame bonne et emplit de sagesse. Pour ma part non je ne recherche pas cette paix intérieur, enfin pas pour le moment. Je profitais simplement des douce caresse du soleil, j’en avais assez de me faire battre par tout ces gens de Qualistor donc je m’éloigne d’eux le plus possible.