Refuge d'hiver

Comme il n'avait pas vraiment prévu ce qu'il ferait cet hiver, Malteste finit par s'en retourner à la forge pour accomplir quelques travaux qui pourraient servir aux nouveaux arrivants qui voudraient s'établir en Vastania.
Le doute était un poison perfide et il avait appris à s'en méfier.
"Quoi qu'il en soit, se dit-il, les forces de la lumière resterons. Je crois que Daralys vaincra dans cette guerre. Mais si elle devait disparaître, la lumière et les ténèbres ne cesseraient pas leur éternel combat. Ils ne cesseront de courir au chaos que lorsque l'équilibre sera faite entre les deux forces. Lorsqu’elles seront mariées pour se compléter l'une l'autre. Il y aura alors place pour les êtres des jours et ceux des nuit dans un respect mutuel.
En fait, Djada et Soriel mère et fils, semble-t-il, selon les rumeurs, n'en font-ils pas preuve ?»
Un vide profond s'était installé dans sa poitrine. Il le sentait d'autant plus qu'il s'était étendu sur la paillasse qu'il avait installée dans le fond de la pièce. Il déchirait avec application des lambeaux de chaire du pilon de dinde qu'il avait laissé tourner sur une corde près des flammes. Son vide ne se remplis pas pour autant. Il était causer par une soif qu'aucune bière ni venaison ne pouvait apaisée. Il finis par lancer l'os dans les flammes.
Une idée venue de nul part surgit dans sa tête. Il faut que je parle de cela à tout les Daralysiens, en commençant par les prêtres.
Cette pensée disparut aussi vite qu'elle était venue. à la place un visage obscur apparut comme dans un songe. Le visage d’H’erel . Il ne voulut plus penser à autre chose.

Erhel en avait marre de cette forêt à un point insoupçonnable. Il y faisait trop clair, il y faisait trop froid, les gens qui s'y trouvaient étaient désagréables. Et cela comprenait ceux de son espèce. Elle ressenti une bouffée de colère au souvenir de ce que Samaeel avait oser faire ! Lui qui l'avait bassinée depuis si longtemps à accepté son destin de chamane, il avait OSÉ non seulement renier les esprits, mais en plus en bafouer leur image. L'image des symboles de esprit mutilés lui revint en mémoire et elle se crispa encore plus.

Au bruit de la guerre qui faisait encore rage (HG J'imagine !) dans le ciel elle leva la tête, et un sourire lui effleura presque les lèvres. Il s,était suicidé l'imbécile, la Déesse comprendrait-elle son sacrifice ? Erhel en doutait, car en moins de deux jour, Destymone en personne était venue lui parler pour lui dire qu'Elle voulait ses priants vivants. Pauvre Destymone, d'une certaine façon, Erhel avait presque pitié d'elle, car la déesse n'aurait pus trouver oreille à la fois plus compréhensive et plus indifférente... Tant pis pour elle, aurait-elle mieux outillé son frère, qu'elle aurait peut-être eu une chance... Peut-être...

C'est sur ces pensée "joyeuses" que la Sin'Neear marchait d,un pas vigoureux vers l'auberge. Elle avait besoin d,un vrai feu, d'un endroit bien au sec, et surtout... de murs autour d,elle et d,un toit sur sa tête pour quelques minutes. Et pour cela, elle acceptait (de mauvaise grâce) de supporter la présence des êtres inférieurs qui fréquentaient aussi ce lieu.

(Noir=Commum ^^)

De son côté, le Grand Druide de Dalilya avait très discret, comme à son habitude l'hiver. Il avait passé des journées entières à méditer sur l'avenir incertain de Galardia. Les gens semblait avoir accordé beaucoup d'importance à cette " prophétie", que Falderas croyait toujours fausse, ou, à tout de moins, il attendait de voir des preuves tangibles de sa validité. Des idées nouvelles lui était venues en tête et il avait des projets, certains étaient sensés et réfléchit et d'autres étaient dangereux et certainement, pour plusieurs, carrément fou. C'est dans cette optique que le Syl'neear cherchait celui qui partageait un peu la même vision que lui et qui était toujours franc et plein de conseils, Soriel.

Le Druide avait quitté son campement à l'aube, en direction de la forge. À l'extérieur, l'hiver régnait en maître. Le vent froid mordant et la neige rendait la vie difficile au Syl'neear, qui, respectant le cycle des saisons, s'abstenait l'hiver d'utiliser ses sorts et ses transformations, par respect pour la nature qui dort en ce moment, tout autour de lui. Habillé comme tous les autres jours de l'année, seulement que sa grande cape de plus, il marchait dans la direction de la Forge, qui devenait de plus en un endroit attrayant avec sa chaleur.

Bientôt, il arriva à cet endroit, d'où une légère fumée s'échappait avant de disparaître doucement. Il poussait l'un des deux portes de bois et entra sans même regarder qui était à l'intérieur. Il souleva sa capuche et révéla son visage. Il plaça son fidèle bâton contre le mur et en se retournant, vît qu'il n'était pas seul. Il y avait Malteste, évidement et aussi, Erhel.. Il n'était pas particulièrement enchanté de la voir, mais il devait faire avec. Il jeta un sourire au forgeron.

- Bien le bonjour à vous Malteste, de même pour vous Erhel.

Le Grand Druide s'assit directement sur le sol. De sous sa cape, il sorti un livre vert, qu'il ouvrit doucement. Une plume y était glissée dans la couverture. Avec sa main gauche, il révéla une fiole d'encre qu'il plaça sur le sol, à sa droite. Puis, il ouvra son livre vers un page ou quelques morceaux de parchemins avaient été amassés et rassemblés. Il jeta sa plume dans l'encre et commenca à écrire quelques mots en Sylvestre lorsqu'il s'arrêta et posa son regard sur le Nain.

- Auriez-vous vu Soriel par hasard, Malteste?

Assise près du feu et plongée dans un bien être relatif induit par la chaleur, Erhel avait les yeux clos. C'était encore le meilleur moyen de se protéger de la lumière des flammes. Elle n'est était pas moins attentive à son environnement. Une odeur qu'elle associait maintenant aux feuilles mortes d'automne lui sauta au nez. Elle allait ouvrir les yeux pour savoir quel était l'elfe sauvage qui venait ainsi d'entrer quand elle entendit la salutation de Faldéras.

Elle réagit avec un haussement de sourcil. Et se repositionna pour profiter davantage de la chaleur des flammes et se sécher.

L'entrée de Falderas fit ouvrir les yeux de Malteste. Il fut très surpris de voir Erhel près du feu. Il n'était pas sur d'être éveillé et se croyait encore dans un songe. La dame noire devait avoir été très silencieuse car son entraînement de guerrier l'avait conditionné à réagir au moindre bruit.
-Falderas ! Dit il avec une calme surprise dans la voix. Excusé moi, je n'ai pas vraiment compris votre question... Soriel, me dite vous, il y a longtemps que je ne l'ai pas vue. A-t-il des problèmes ?
Tout en parlant, il ne cessait de regarder Erhel qui demeurait immobile devant le feu. Les charbons rougeoyant de l'âtre découpait le beau visage d'un halo fauve qui dessinait les traits de la sin near, comme l'aurait fait un peintre, d'une délicate ligne, faite d'un pinceau fin. Un pointillé incandescent soulignait ses paupières clauses lorsque la lumière affleurait ses sils. Une étoile orangée brillait sur ses lèvres couleur de nuit. L'impression de vide de son coeur avait disparut. Il regrettait presque la présence soudaine du druide.
Il lui sourit néanmoins.
-Il me reste de la dinde et un bouillon chaud. Si l’un de vous veux en profité, n’hésité pas à vous servir.

Le Grand Druide accepta volontiers l'invitation du Nain. Il se leva, laissant toute ses choses un instant, et alla vers le comptoir de Maria et prît un bol de bois. Il se dirigea ensuite vers le feu et prît quelques louches du bouillon mais ne toucha pas à la dinde. Il retourna s'assoir et alterna entre la soupe et son travail.

- Soriel n'a aucun problèmes, je souhaitais juste m'entretenir avec lui sur mes dernières réflexions et que devrions nous faire pour l'avenir, voilà tout.

Il s'arrête à nouveau d'écrire dans son livre et balayait son regard entre la Shaman et le Templier.

- Si jamais quelque chose devais arriver à Daralys, Malteste, je tiens à vous dire que je suis désolé... C'est un peu de ma faute si les choses sont dans l'état qu'elles sont présentement. je en regrette aucunement ce que j'ai fait, mais si je fait du mal aux priants des Dieux, comme moi, alors j'en prends responsabilité.

- Je suis fort aise que Soriel aille bien. Pour ce qui est de Daralys...si les dieux disparaissent du panthéon. Il nous reviendra à nous tous créatures de ce monde , de faire en sorte que chacun ait sa place. Nous ne pouvons agir sur les guerres des dieux et des esprits. Nous pouvons faire en sorte que notre monde ne disparaisse pas. Nous sommes tous, pour une fois, à égalité. Nous sommes tous laissé à nous même. Peut-être pouvons nous reforger ce qui était désunie et travailler à un monde meilleur quelque soit Les places que les dieux nous avaient décerné par le passé.
Son regard s'était déplacé durant qu'il parlait et on pouvait voir que ses paroles ne s'adressait au druide que de façon secondaire. Il savait qu'Erhel ne pouvait pas ne pas avoir entendu ce qu'il venait de dire. Il regardait maintenant la chaman aux yeux clos.

Entendant ce que le druide venait de dire Erhel ne put retenir son sourcil de s'élever davantage. Elle n'avait pas envie de se mêler de cette conversation... Mais entendant la réponse du nain ce fut plus fort qu'elle.

- Si le Dieux en viennent à mourir ou disparaître... Leur incompétence en est la seule et unique responsable. Qu'Ils s'en prennent à eux mêmes. Mais je doute que ce soit ce qu'Ils fassent. Si certains se tirent de cette situation, leur priants les plus fidèles seront les premier à en pâtir. Car les Dieux n'assument pas.

Elle tourna la tête vers le druide pour ouvrir les yeux sans fixer les flammes, mais elle ne put retenir une grimace de douleur quand la lumière du feu pénétra en elle. Par réflexe elle leva sa pelle entre elle et la source de lumière.

- Faire souffrir les priants des Dieux? Mais quoi que vous fassiez, ils souffriront. Ne vous donnez pas tant d'importance, la vie c'est la souffrance, la mort est délivrance.

Lentement, presque avec répugnance elle regarda en direction du nain. Elle ne le regardait pas lui, mais dans la direction générale où il se trouvait.

- Pour ce qui est de reconstruire... Je suis confiante, le gens feront ce qu'ils font le mieux, se préoccuper d'eux-mêmes. S'arranger pour avoir un place meilleure et plus confortable en ce monde.

Alors que le Grand druide, tout en écoutant la Sin'neear et le Nain lui renvoyer la parole, sorti deux fioles de vitres de sa poche. Il les examina un instant avant de noter quelque chose dans son livre avant de se tourner d'abord vers la Shaman de Pendra.

Il ne souhaitait pas lancer un débat philosophique, car ce n'était ni l'endroit ni le moment, mais la curiosité était trop forte et, qui sait, peut-être allait-il apprendre quelque chose d'intéressant.

- C'est vôtre point de vue. La mort est la fin du Cycle, route que rien ni personne ne peut échapper certes, mais de la à appeler la vie de souffrance, c'est un peu excessif. Si c'est le cas, tout le monde s'enlèverait volontiers la vie à la moindre embûche trop difficile à contenir. Cependant, ce n'est pas le cas.. et pourquoi? Parce que la mort fait peur... Délivrance certes, mais, vers quoi? Moi, j'ai la chance de savoir ce qui m'attends après que mon Cycle ce soit terminer, en cela je suis très chanceux.. mais pour la majorité des gens, la mort effraie... Et, que vous soyez d'accord ou non, l'espoir garde la vie.

Lui qui ne voulait pas partir de débat avait lancé ce petit discours bien sporadiquement, cherchant, peut-être à pouvoir se rassurer lui-même au lieu de relancer la Shaman.

- Malheureusement, ce n'est pas aussi simple. Il y aura toujours quelqu'un qui essaiera de prendre plus de puissance... Je ne crois pas trop en l'égalité... malheureusement pour moi. Les gens ne mettront jamais de côté leur allégeance divine... Même si le Panthéon vient à être détruit complètement... C'est pour cela... que... Je veux parler directement à Daralys et Destymone... Si nous pouvons trouver un équilibre dans tout ce qui se passe, alors peut-être que nous pourrions rebâtir sur des bases nouvelles, mais tant que la bataille fait rage, nous ne pouvons qu'attendre l'issue finale...

-C'est sûr que si l'on attend, les choses vont se dérouler sans notre intervention.

Soriel apparu dans la porte de la forge, cachant un peu de la lumière qui passait au travers. Il s'engouffra à l'intérieur et referma la porte.

- Mais on a déjà fait beaucoup. C'est sûr qu'on voudrait que tout le monde se tienne mains dans la mains. Que les Dieux prenne leur place et que les esprits fassent la différence entre ceux qui les ont vraiment emprisonnés et ceux qui n'ont rien à y voir. Il faut faire attention... Il ne faut pas penser que l'on a la solution ultime... la meilleure pour tous le monde.

Soriel semblait serein. Il avait trouver plusieurs réponses à ses questions, et une place pour lui.

Un homme apparue derriere soriel les bras chargés de buche.

-Svp soriel es ce que tu peux te tassé sa commance a etre lourd.

Il déposa les buches a coté du fourneaux.
Dargon enleva toute les fourrures quil portais sur son dos.Il révela sa personne a tt se beau petit monde.

-Malteste , Soriel, Erhel, Falderas en leur fessant un signe de tete.
-Quel bon vent vous amene par ici?

Lorsque, successivement, Soriel et Dargon entrèrent dans la forge, Falderas rangea ses affaires. Il ne répondit pas à la question de Dargon, avait-il vraiment besoin de savoir pourquoi il était ici mise à part une refuge contre le froid.

- Effectivement, il n'y aura jamais UNE solution qui plaira à tout le monde... c'est impossible.

Il soupira.

- Je crois qu'à ce stade, nos interventions ne sont plus vraiment... nécessaires... pour l'instant du moins. C'est un conflit entre les Dieux et les Esprits et je en crois pas qu'on peut y changer grand chose pour l'instant. C'est un peu ce qui était prévu et nous étions tous assez responsable pour savoir dans quoi nous nous embarquions. Ce qui m'a permit d'utiliser le carillon, c'est le résultat de la prière de Soriel à Relin... Avec l'aval de celui-ci je ne pouvais pas vraiment revenir en arrière...

Il balaya la pièce des yeux.

- Mais, je crois qu'immédiatement après l'issue du combat, nous aurons de grande décisions à prendre...

- Dargon, il n'y a rien de bon dans le vent qui m'amène ici. Je cherchais simplement un abris contre ce maudit vent glacial qui mord et s'infiltre partout.

La chaman abaissa sa pelle et ferma de nouveau les yeux. Des volutes de vapeurs s'élevaient encore de ses vêtements. Elle avait pris la décision de ne pas partir tant qu'elle ne serait pas suffisamment sèche pour affronter l'extérieur. Aussi elle entendit l'évolution dans le discours du druide. Et comme il balaya la pièce des yeux. Elle l'écouta dire ces paroles :

- Mais, je crois qu'immédiatement après l'issue du combat, nous aurons de grande décisions à prendre...

- Ma décision a été prise bien avant l'issue du combat, et si la dame de la nuit y survit, elle me le fera amèrement regretter. Pendra...

Un sourire où se mélangeait la tendresse et le fanatisme apparu sur les lèvres mauves de la Sin'Neear.

- Quelque soit l'issue de ce combat, Pendra a toute ma loyauté. Mes choix on fait souffrir le seul être qui a déjà compté un tant soit peu pour moi. Reculer ne mène à rien. J'ai fais un choix qui m'a bannie de mon peuple, m'a bannie de ma cité, ma fermé à tout la jamais le monde qui fut le mien. Revenir en arrière est impossible. Surtout que je ne sais même pas s'il restera une Caliden à la fin...

-Le combat se passe au panthéon, pas sur Galicia. Si des Dieux meurent, ce ne sera pas nécessairement la fin de ses priants ou les races qui ont étées crées par elles... Non, mais. Pensez-vous vraiment que les Déesses majeures vont mourir ainsi. Elles ont qu'en même beaucoup plus de pouvoir que les autres Dieux, qui sont propulsés que part la volonté de leur priants?

Ca reste une éventualité très probable vue la force des esprits. Au moins, Galicia est maintenant protégée de l'arme des monolithes. C'était l'affront que je réservait à Destymone. Pour le reste, l'équilibre entre le jour et la nuit, ca serait le bienvenu...

Le coeur de Malteste bondit dans sa poitrine en entendant les propos d'Erhel.

-Voilà donc ce que je voyais en vous qui nous rassemble.
Vous aussi avez été rejeté des vôtres et avez due partir sans retour possible. La colère et le désespoir qui dors en vous, je l'ai aussi cruellement ressentis brûlant mon âme et mon coeur et enrênant le feu de la colère à détruire plutôt que de construire. Seul l'accueil des gens de Vastania m'a convaincu de revenir à des sentiments plus nobles.
Je vous en conjure, fille de la nuit, répondez à ma tendresse et faite que je me tienne à vos côté deux fois par jours. À l'aube et à l'aurore, où il ne fait plus tout à fait jour et pas encore tout à fait nuit.
Ainsi aux heures tranquilles, moment ou les ténèbres épousant le jour viennent faire se tolérer les chiens et les loups. Nous aurions des moments où nous pourrions fondre nos différences pour amalgamer un instant la lumière et les ténèbres. Savourer la chaleur du soleil et la fraîcheur de la nuit.

Le nain ne percevait plus la présence des autres. Il se sentait dans une autre réalité Vastania n’avait plus d’existence. La forge s’était remplie d’une luminescent bleue et magenta. Il ne sentait qu’une légèreté qui émanait de son âme. Sans vraiment le vouloir, il s’était approché lentement d’Herel et avait mis sa main sur la sienne avec une douceur que son métier de guerrier et de forgeron ne pouvait pas faire soupçonner.

Pendant une bonne minute d'horloge Erhel figeât... À sa plus grande honte elle fut incapable de bouger ou d'émettre le moindre son telle ment elle était choquée. Son cerveau n'arrivait pas à admettre une telle chose ! Déjà, en Caliden jamais un mâle n'aurait osé être aussi impudent ! La toucher, ELLE !

Elle ouvrit les yeux et les posa horrifiés sur la petite main blanche qui reposait sur la sienne. Un NAIN ! Un nain de Daralys... Un dégoût envahi la chaman et elle eu comme un goût de bile au fond de la gorge.

La seule chose qui l'empêcha de caster sur le champs son spell de souffrance sur cet être impudent fut le fait que le cerveau de la Sin'neear se refusait à admettre une telle réalité. Cela ne se pouvait tout simplement pas.

Mais finalement les paroles qu'avait prononcé le guerrier de la déesse des lumières se frayèrent, bien malgré elle un chemin jusqu'à son cerveau. Et toute l'horreur de la situation l'envahi d'un coup !

- Comment osez-vous me toucher ! S'écria-t-elle en se levant d'un bond et empoignant du même mouvement sa pelle...

Le nain ne réagit pas. Il se contenta de laisser tomber sur le côté de son corps la main qui avait effleuré celle de son amour. Il la regarda sans autre émotion que de la tendresse.
Il lui sourit doucement. Recula ensuite d’un pas. Il ne fit même pas un geste de défense. Il parla lentement, doucement.
-Puisque je ne peux atteindre votre coeur. Je n'insisterai plus. Je ne vous demande pas de me pardonner car jamais je ne regretterai ce contacte. Je le garderai toujours au plus profond de moi. Aucun autre espoir ne m'attache ici. Je part vers d'autre lieux. Je pense ne plus revenir.
Il se retourna vers Soriel.
-Mon ami. Dite à Djada que j'ai apprécier chaque instant de notre amitié. Dite aussi à Dio que ce fut un honneur de combattre à ses côté.

Il s'avança vers le druide. Et pausa sa main sur son bras. Adieu mon ami. Il se dirigea ensuite vers sa paillasse où il enfila son armure de peau pris son sac à dos. Glissa ses masses de jet dans sa ceinture, son épée dans son foureau. Il mis sa cape au dessus de tout son attirail. Il enfila ses gants. Après avoir saisit sa masse, il se dirigea vers la porte sans se retourner.

Soriel regarda, hébêté, la tirade de Maleteste. Vraiment, il avait mal choisi sa nouvelle flamme. Mais pourtant, il trouvait que cette maladresse ne pouvait qu'être qu'un pas dans la bonne direction.

Quand Malteste vint lui souhaité au revoir, il répondit:
- Biensûr...

et quand Malteste fut rendu à la porte:

- Peut-être que je devrais venir avec vous? Après tout, nous sommes arrivés ensemble. Braver les chemins seul peut être dangereux et j'ai fait ce que j'avais à faire ici. Mon mon grand-père ne viendra pas ici...

Malteste esquissa difficilement un sourire.
-Je ne pourrais jamais rêver d'un meilleur compagnon de route. Quand serez-vous prêt ?

Pendant ce temps dans l'auberge Erhel se retenait difficilement de trembler d'indignation contenue. Elle prit conscience que deux des mâles avaient quitté le bâtiment et se détendit légèrement. Essuyant machinalement sa main sur sa jupe elle se rassit sur près du feu.

Lançant un regard à la ronde elle fit le décompte des personnes présentes...

- Tien... "L'empêcheur de prier en rond" est parti aussi?

Elle sortie sa pipe et la bourra de son mélange d'herbe Spéciale. Pas assez fort pour un rituel, mais pas du tabac seulement non plus... Puis l'alluma en grimaçant de sentir la lumière de la flamme si près de ses yeux.

lun des celdérick désidas daller a lauberge prendre un petit coup. Il ce promenas en passent a son pere qui étais la haut. Quan quil vut quil avais du mouvement a lauberge pus tros sur de luis. il allas pres de la. en espérent que malteste sois point dans le coin.Il pus constaté apres un long regard verre le batiment quil avais beauxcoup tros dostilité dans cette auberge. Pour quil puisse aller prendre son verre cotidien tranquillement comme il avais lhabitude de faire.

:pencer de pharim:
pharim aimais bien malteste pour tous les combat quil avais pus avoir. Avec ce templier si redoutable que ce chere malteste. Comment pouraige aller labas ce dit pharim pratiquement toute mes énemis i son. ma famille nest point proche de moi je suis seule est jai le gout de boir un verre mmm. je ne sais point si notre alliance avec les autre prian du mal son encore exacte. mm Cela me tracase car si il est brisé je me ferer tué a mon ariver.

: description de mouvement de pharim:

pharim désidas donc daller pres de lauberge voir sequi ce passerais. Pres de lauberge pharim commencas a ce posser des question.Ce qui est tres rare dune mentalité de diablotin. son réel but étant celle de boir un verre est rien dautre. il resta pres de laubert en espérent que quel qu un viendrais luis parller.Et quil norais point a ce batre

Il faudrait que je fasse mes adieux. Voir ce que Djada en pense..