Apres un combat contre les ombres.. on ne vois que des ombre

Priver Good a cause que l'auberge est encore une eglise de Daralys...


Le silence reigne dans l'auberge, la porte sacager laissant le froid entré, le feu et les cuisson était eteint et refroidit. Un halo de lumiere ce forma a l'intérieur pres de l'entré. Maria apparut, confuse elle regarda autour d'elle cherchant a comprendre comment elle avait put attérrir la. Ses trait tiré, son teint livide et son expression désemparer démontrait les dur évènement des dernier jours. Elle était seule en ce lieu qui la faisait sentir en sécurité. Incapable de retenir plus longtemps ses pleure elle éclata en sanglots. Ses jambes devenant molle, ne suportant plus son poid elle tomba a genou sur le placher de bois. Elle portait visiblement plus que ce qu'elle pouvait. Elle serra les poing sur son tablier.

* Mais a quoi tout cela rime!? Pourquoi suis-je meler a tout cela malgré moi!? Je n'en peux plus.... je n'en veux plus de cette vie empli de mort, de guerre et tout ce qui vient avec. Je n'ai rien a voir a tout cela pourquoi m'ont-ils trainer dans tout cela. Ma vie d'avant me manque, le pacifisme d'Imaginia semble si loin! Pourquoi t'en de gens en veulent a ma vie, je ne suis qu'une simple tavernière? Pourquoi les autres veulent m'impliquer dans des combats idéaliste qui ne sont pas mien?! *

Ses pensées se mélangeait et les questions se précipitait dans sa tête. En si peut de temps il y avait eu tant de mort assez pour la boulverser. Elle voulait aider ceux qui venait les exterminer lorsqu'ils tombaient sous les armes mais elle savait que si elle le faisait la premiere chose qu'eux feraient serait de la tuer. Mais pourquoi? Elle n'avait pas choisit de camp, mais apparment on l'avait fait pour elle. Elle avait apprit le maniment des armes et maintenant elle le regrettait. Voir la flamme de la vie s'eteindre dans les yeux de ses advairsaire lui causait tant de remord a chaque fois, que son estomac s'en retournait encore. L'Oomius plaqua une main sur sa bouche, pour empecher la bile qui lui brulait la gorge de monté d'avantage, lorsque l'image de son dernier '' meurte'' lui revint a l'esprit. Quel horreur... comment ceux-ci pouvait-il faire cela de sang-froid ou par pur amusement, La tavernière se releva se dirrigea vers son comptoire mais resta du coté client puis se fit un verre dans le premier tonneau qu'elle vit et le but d'un seul trait. Son coeur se serra sans qu'elle sache pourquoi. La peine qu'elle ressentait elle ignorait si elle la comprenait vraiment, mais elle devait laisser sortir ses larmes si longtemps retenue. Elle repensa a Firaga et Calidael qui avait été si bon envers elle en lui venant en aide soit pour son auberge ou pour mieu se protégé, elle ignorait comment elle pourrait leur rendre puisque ,meme s'ils l'ignoraient, ce geste fut pour elle des plus genereux que l'on est eut a son égard. Maria se reservi un verre les larmes coulaient inlassablement sur ses joues, ses yeux commençaient a rougir, ce verre aussi elle le calla d'un seul trait. Elle passa une main dans son visage pour retirer les larmes qui lui chatouillait encore les joues sans pour autant arretter le flot qui continuait de glisser sur ceux-ci.

Pourquoi pleurait-elle? Elle meme ne saurait vraiment le dire... le mal endurer tout ce temps et les visions d'horreur des dernier jours... cela était impossible a préciser. La jeune femme s'enligna un troisieme verre puis un quatrième. La tête commençait a lui tourner les image etait de plus en plus flou dans sa tête... enfin elle allait avoir quelque instant pour oublier tout cela. Elle croisa les bras sur le comptoire et y posa sa tête continuant de sangloter. L'alcool avait bien agit sur elle car elle ne remarqua point la personne qui passa par la porte défoncer.

La dernière chose que le Grand druide se souvint, c'était un éclat de lumière est tout était devenu blanc. Par la suite, il eu un sommeil dérangé, presque surnaturel, avant de se réveillé à quelque pas de son campement. Il ignorait combien de temps s'était écoulé depuis son combat au côté de Calidael, mais à regarder ses blessures, cela semblait dater de quelques heures au maximum. Les derniers jours avaient été éprouvants, il était heureux de savoir qu'il était en vie. Cependant, il s'inquiétait pour les autres, comme Maria et les deux Arch'Sitak.

Tout chose en son temps, le Syl'neear réalisa quelque chose et toucha instinctivement le côté droite de sa cape. 1-2-3-4... parfait. Saméri, Getsou, Pyro et Valya étaient toujours là, c'était le plus important et le carillon était en sécurité. Il reparti donc, en direction de l'auberge.

À peine arrivé, il vît la désolation des lieux. la terre était rouge, trempée de sang et une odeur âcre nauséabonde régnait en maître. Il commençait à avoir particulièrement froid et pour cause, il remarqua que son habit avait était brûlé à certains endroits, maudite Azura.

Une voix faible le fît réaliser qu'il n'était pas seul. Il entra doucement et vît la pauvre Maria, là, seule, elle pleurait. En temps antérieur, il n'aurait même pas porter attention à cette auberge, qu'il a déjà voulu voir réduit en miettes. Cependant, voir l'Oomius, seule, dans l'endroit qu'elle aimait, Falderas senti un pincement au cœur. Il savait bien qu'il allait devoir en découdre avec elle, mais au moins, semblait-il, il était le seul à être venu.

Le cousin de Maria avait été convoqué dans une affaire qui consernait les lois de Vastania. Il n'avait pas trop compris au debut mais cela avait pris plus d'une semaine de son temps et il revenai maintenant. Il portait un flo de papier entre les bras, des millions d'idée nouvelles en tête. le jeune adulte était allez à la maison, puis, ne trouvant pas sa femme, il c'était déplacer ver la taverne car c'était elle qui voulait voir en premier.

Lors de sa amrche il constata que Vastania n'était plus la même. Les animeaux cessaient de chanter, les chemins était remplis de branches brisé par les combats, se sol teni par le sang et Lester ne s'imaginait pas quel spectacle horrible cela donnerait en hiver.

L'auberge était pire, pendend qu'il desendait la pente boueuse, il se demandait quel catastrophe naturel avait bien pu s'abattre sur se lieux de repos et de fête. C'est seulement apres s'être raprocher qu'il constatait que c'était encore une fois la folie des hommes qui avait atteint l'auberge.

Mais la chose qui le frappa le plus fut le spectacle de sa femme. Elle était la sur le contoir. Elle versait tant de larmes il semblat à François que chaques échos de seux-ci se transphrmaient en lame bien aiguiser qui venait se loger sous sa peaux. La voir ainsi le boulversa et cela allait changer sa vie bien plus que tout les combats qu'il avait mener et vu en ses lieux maudits.

-Maria!?, souffla il avant de se ruer derrière le comptoir.

Lui qui avait l'habitude de tout ignoré et de prendre son temps lacha ses choses comme si il s'agisait de vulgaire cochoneries. Sa canne n'était qu'un simple bout de metal, ses livres des feuilles et il n'enleva meme pas son chapeaux. Il saisit les épaules de sa cousine et la forca à ce relever pour mieux constater les dégats.

Son visage parla pour elle. Avant même de lui demander quoi que se soit il la serra si fort dans ses bras qu'on eu cru qu'il avait peur pour la vie de son épouse. Maria était triste, sa lui arrivai. Elle avait bue, sa aussi sa lui arrivait. Son auberge était briser, c'était possible. Mais pas dans de tel proportions. Ho non. Il la connaissait trop bien. Ce qui était arriver était pire et il sentit en lui montré les rages d'Elredors pour seux qui avait eu la brillante idée de mettre sa femme dans cette état.

Il continuait de la serré ainsis, ne lui demandant pas de se calmer ny de pleuré plus. Il passa sa main sur sa tête tranquillement...

''M-Maria!? QUOI!? Qu'est-ce que tu fait ici!?''
''Bien, sa ne se vois pas klarth? je suis venu te rejoindre!"
''Quoi? Ta quitté imaginia!? Mais pourquoi!?"
''C'est jentil, moi aussi je vais bien tu sais et La famille aussi...''
''C'est dangeureux ici!"
''Bien voyon, j'ai mon valeureux mari pour me protégé!''
''Je rigole pas... Tu retourne en imaginia tout de suite."
"Non, pas question!''
''..."
"Je ne rigole pas.''
''Maria, Je serais pas toujours la pour te protégé, je veu que tu soit consiente de ca. Ici c'est dangeureux. Vraiment, si il t'arrivait quoi que se soit, je ne me le pardonerai pas.''
''Daccord!''
''Daccord...?''
''hun-hum!"
''...''

Il l'avait prevenu.

Il l'avait prevenu. Mais qu'avait il fait pour prevenir ses drame? Rien.

-Vien avec moi Maria, ordona une voix sérieuse qu'on ne voyait que trop rarement en lui.

Il la traina dans le seul endroit qui n'avait pas encore subit les foudres des habitants de Vastania, leur maison.

La femme ne leva pas les yuex lorsque le druide vint se poster pres de la porte elle etait bien trop occuper a tenter d'oublier les derniere heures pour ça. Le froid transphormait chacun de ses soupir en petit nuage de vapeur qui s'envolait au dessu d'elle. Elle tremblait non pas de froid mais de terreur, de dégout, de panique et bien plus encore. Elle senti deux main se poser sur elle la forçant a lever les yeux, elle reconnut Klarth enfin revenue de son voyage. Il la serra contre lui et elle fit de même. Serrez ne serait pas le bon mon elle si agrippait comme si le vide se formait sous elle comme si elle avit peur de le perdre ou meme de serrez un mirage. Elle calla son visage dans le coup de son cousin se laissant cajoller, cela lui fit des plus grand bien. Elle laissa passer le plus grand de ses sanglots avant de redresser la tete démasquant son visage rougit. Elle remarqua alors Falderas et ses yeux se remplire de nouveau d'eau. Étais-ce par bonheur de le voir en vie ou par colere de son incompétence. Elle passa la main sur la nuque de son cousin.

- Oh Klarth, je ne voulais pas que tu vois cela et encore moins que tu me vois ainsi. Tu es de retour bien tot de ton voyage.

Ses parole s'entre-coupait de sobre-saut. Lorsque François se leva pour l'entraîner avec lui elle hesita en regardant autour d'elle puis elle reposa les yeux sur lui a la fois dése^péré et suppliant.

- Je ne peux laisser l'auberge ainsi...

Elle se leva tout de meme trop faible pour résister a quoi que ce soit. avant de suivre son époux elle s'approcha de Falderas et pris sa main dans les siennes.

- Vous allez bien, finit-elle par prononcer, savez-vous ou ce trouve Myrthille, Dio et Calidael? J'espere qu'ils vont bien....

La pauvre elle semblait s'inquittée d'avantage de ses inconnus que pour elle meme. Ses épaules relacher démontrait sa grande fatigue et son impossibiliter a partir a leur recherche.

- Sont-ils toujours sur la route? Vous arriver de cette direction non? L'ombre est toujours présente?!

La panique sembla s'installer dans sa voix. Elle serra la main du druide.

-vois cela et encore moins que tu me vois ainsi. Tu es de retour bien tot de ton voyage.

-À première vue non, je suis de retour bien trop tard, lui dit il, oui il faudra la laisser ainsis. Je viendrai la réparé plus tard.

Il lanca un regard furieux à Falderas. Apparement, il ne voulai pas qu'il en rajoute, il voulai être seul avec Maria.

Le druide laissa les deux Oomius parler. Lorsque Maria prît ses mains, Falderas rougît un peut, étrangement la personne qui l'avait touché était... Kina. Il n'était pas habitué aux contacts physiques, aussi anodins soit-ils.

- Ils vont bien, Maria, calme-toi, François est là, tu sera mieux avec lui qu'avec moi.

Il croisa le regard de Lester.

- Sa va, je vais vous laisser seul.

Sans ajouter un mot, Lester ramena Maria à la maison. Elle n'était qu'a quelques minutes de la. Il ouvrit et asis confortablement Maria dans son siege a lui avant de baré la porte. L'Oomuis mis de l'eau a bouillir et entoura sa femme d'une couverture avant de déplacer une chaise et de la mettre en face de celle de Maria. Il sorti son mouchoir et lui tendit delicatement.

Son regard était tel un miroir, reflétant se dessin étrange d'une Maria briser, blesser et trise. Étrangement il ne dit rien. Il s'aprocha se pencha sur elle et glissa les mains de maria dans les siennes avant des presque les pétrir. Il ne sessait de la regarder, presque a pleuré lui aussi, il attendait qu'elle lui dise quoi que se soit.

-À première vue non, je suis de retour bien trop tard, lui dit il, oui il faudra la laisser ainsis. Je viendrai la réparé plus tard.

Maria haussa les sourcils mais ne repliqua pas. Elle n'en avait pas la force pour le moment. Lorsqu'elle saisit les mains de l'elfe elle ne remarqua pas que celui-ci rougit. Elle fixait tout simplement son regard a la recherche d'un parcelle d'espoir.

-Ils vont bien, Maria, calme-toi, François est là, tu sera mieux avec lui qu'avec moi.

La guérisseuse lui tapota la main avant de la lacher. Soulager elle soupira savoir ces braves gens en sécuriter la réconfortait.Elle jeta un dernier regard au Near avant de lui tourner définitivement le dos et suivre son époux en direction de la maison. Une fois entrer l'Oomius laissa son cousin prendre soin d'elle. Quand il saisit ses mains elle plongea son regard dans le sien. Elle savait fort bien qu'il attendait simplement qu'elle lui raconte tout ce qu'elle avait sur le coeur. La femme inspira profondément et ouvrit la bouche comme pour prononcer sa premiere fois mais se mordit la levre inferieur puisqu'aucun son ne daignait sortir de sa gorge. Maria fixa le sol pratiquement une minute et tout en fixant le sol elle commença a raconter son histoire.

- A quoi tout cela rime?, elle inspira un bon coup. A quoi ça rime de combattre ainsi et causer autant de mort. Pourquoi accuser a tort et travers. Qui sont-il pour décider du sort de quelqu'un. Pourquoi tiennent-ils tant a me faire choisir un camp, a quoi bon me force a combattre?! Ils attendent tous tellement de moi... plus que je peux en offrir. Ils souhaitent que je saute dans un combat dans le quel je suis nullment impliquer. J'ai été forcé de combattre pour ma survie pour la premiere fois! Pour la premiere fois contre des créature humaine ou elfique. Il y a du sang sur mes mains Klarth... Sur mes mains! Moi qui a choisit de sauvé les vie.... j'en ai prise! Et tout cela parce que les homme du mal on decider de tout ravager! Ils ont démoli mon auberge a multiple reprise ils on souiller le sol qui l'entour. Tu sais c'est quoi le pire en tout ca...

Ses sanglots reprirent de plus belle.

- ... J'ignore pour quel idéal je me suis battue... J,ignore pour quel raison j'ai semer la mort dans des gens qui me sont totalement inconnue! Tout c'est passer si vite que je ne me rapelle que d'ombres flou...

Ses pleures nouèrent sa gorge l'empechant de continuer. Elle plaqua ses mains sur son visage et secoua la tête comme pour chasser d'horribles images.

- Mais qui étaient-ils, réussit-elle a articuler apres un moment.

-Tu sais Maria... Ce que je vois, C'est une personne qui a donner sa vie pour apprendre à aider les autres, une femme qui sourit tout les jours a tout le monde, qu'importe leur habis, leur apparence ou leur aliences. Ce que je vois c'est une femme qui a ouvert son coeur à tout les gens et ce n'est pas mal tu sais, meme si ce n'est pas tout le monde qui on cette tendence a tendre la main. Il y a un petit nombre de gens pour qui sa compte encore. Moi le premier. Tu compte pour moi Maria.

Il c'était tant pancher sur elle que leur fron se touchait. Il lui tenait les joue et le bout de ses doit glissait dans ses cheveux comme si elle était une ombre fantomatique qui allait glisse et disparaitre d'un instant à l'autre.

-Tu a été trais par ses gens et je m'en veu de ne pas avoir pu être là mais ne laisse pas des vandars et des tueur te laisser croire une seconde que tout ce que tu crois est futile. Tu a combatu pour toi, pour ta vie et crois moi tu en vaux bien la peine! Le sangs que tu a sur les mains, ce n'est pas du sang d'innocent c'est le sang des personnes qui on perdu leur ame depuis longtemps pour une cause futile. Tu ne les a pas tuer par plaisir c'était pour te déffendre.

François la prise de nouveaux dans ses bras, il la berca.

-Oublie leur visage et sesse de chercher à savoir leur noms. Ils avaient leur raisons de lever les armes et tu avait la tienne. ...et la tienne, était de loins, la meilleur.

....

Il continua de la bercer. En glissant de temps à autre une petite phrase tel que ''Tu na rien à te reprocher.''

L' Oomius leva des yeux supliant dans lesquels une étincel sembla naitre mais mourut aussi rapidement. Elle savait que Klarth avait raison. Elle avait fait le bien autour d'elle avait aider les gens qui en avait besoin depuis toujours. Mais avoir du sélectionner un camp lui vait ete impossible, meme si les autres l'avait fait pour elle, elle ne pouvait pas s'y résigner.
　
- ... Tu compte pour moi Maria.


Ses yeux s'emplir de tendresse pour son cousin, elle l'aimait de tout son être et le savoir ainsi concerner et le voir le demontrer la touchait profondément.
Quand il appuya son front contre le sien la femme plaqua ses mains sur la nuque de celui-ci pratiquement implorante. Elle le laissa jouer dans sa chevelure bleu et ferma les yeux, hors de son controles les larmes continuaient d'embrasser ses joues mais dans un rythme plus lent.
　
- ...Tu a été trais par ses gens et je m'en veu de ne pas avoir pu être là

- Oh Klarth de toute façon tu n'aurais pas put y changer grand chose. C'est moi qui a trop bon coeur et qui c'est laisser prendre au jeux....

Elle se laissa prendre par son cousin, quand il la berça elle enroula ses bras autour de ses épaules calla son visage dans le creu de son coup et laissa sortir sa peine, sa douleur, ses remord et touts les autres sentiments pas ses larmes. Elle n'avait pas de mot pour tout d'écrire ce qui se passait dans sa tête. Ses épaules sautaient a chacun de ses saubre-saut. Laguérisseuse savait pertinement que son cousin avait raison mais il en restait pas moins que c'était une fardeau trop lourd pour elle. Quelque instant plus tards elle commença a se calmer, en fait elle s'était endormit d'epuisement a force de pleurer. Elle n'avait pas dormit ces dernier jour et les combat l'avait epuiser plus ses pleures elle avait atteint le bout le ses forces.

-Ne change pas Maria. Malgré toutes les tempêtes qui passe et qui te frape je t'en prie, ne change pas.

Il continua des la bercer jusqu'a ce qu'elle se calme. Il savait que la seule chose qu'il pouvait faire pour l'instant c'était prendre soins d'elle. Elle devait se reposer et elle allait devoir laisser la poussière retomber avant de se remettre sur ses pieds. C'est la bouilloir qui l'aubligea a rompre se partage de douleur. Maria sursauta.

-Tu devrais aller te coucher, lui sugera-t-il doucement.

Il alla la reconduire dans la chambre et pris autant soins d'elle qu'une mère de son nourisson. Il lui dit que tout allait allez mieux dans les prochaims jours, qu'il allait allez réparé son auberge et qu'elle allait devoir prendre conger durant un moment parce qu'elle n'était pas dutout en état. De toute facon l'auberge était en miette. Il sorti de la chambre qu'après avoir vérifier deux fois que sa femme allait bien et ne la quitta que pour allez lui faire une boisson chaude. Il remonta rapidement pour lui donner.

Lorsque la bouilloir commença a chanter Maria se réveilla dans un sursaut cherchant, paniquer, du regard ce qui ce passait. Lorsqu'elle reconnut son chez elle et son epou assit devant elle. Elle passa une main sur son visage elle devait se calmer, c'était le passer a présent, mais elle avait tellement peur que tout cela recommence et certainement tout cela recommencerait.... mais pas aujourd'hui.

Tu devrais aller te coucher, lui sugera-t-il doucement.


Elle hésita elle se leva d'abort pour aller d'elle-même a la bouilloir, la guérisseuse n'avait pas pour habitude que l,On s'occupe d'elle mais plutot le contraire. Son élan fut brusque stopper par Klarth qui la dirrigea vers la chambre. Elle prit une bonnse respiration et tourna les talon pour le suivre. Une fois dans la piece douillette elle se defit de son corset gardant sa chainse et de sa jupe mais gardant sa cullote. Maria fit face a son cousin qui tentait de lui remonter le moral lorsqu'il parla de conger elle secoua la main en signe de négation.

- Je ne peux me le permettre, apres tout si les braves qui m'ont aider reviennent je devrai les acceuillir moi meme. Qui plus est tu ne remontera pas la porte seul je viendrai t'aider...

Le froid se sentait a peine mais epuiser comme elle l'était il la mordit et elle se glissa sous les lourde couverture. Elle attendit qu'il revienne avec a la main une tasse de thé bien fumante. Lorsqu'il la lui tendit elle la sasit et laissa ses mais coller sur la tasse avant dans prendre une petite gorgé. Elle reposa les yuex sur lui.

- Merci.

La sincériter se senti pleinnement dans sa voix.

-Je suis entierement capable de réparé une porte seul Maria, dit-il d'un ton qui partu sevère. Si les gens te cherche, ils sauront te trouver ici.

Il soupira avec un semblan de sourire et s'asit sur le lit.

-Derien.

...

...Si tu veut mon avi, tu te surmène un peut trop. Ne tente pas l'impossible, meme si c'est ce qu'on te demande.

Il posa sur elle un regard qui laissa transparètre qu'il éprouvait de l'empati et qu'il voulai la faire réaliser quelle avait sur les épaules trop de poid. Ensuite, il sembla emplis d'un malaise.

-Maria, tu sais... C'est ce type d'acte que je redoutait. J'ai peur. J'ai vraiment peur. Tout à l'heur, a... à la simple vue de la forge je me suis dit que si il t'était arriver quoi que se soit... Qu'il te soit arriver maleur. je serai... je... j... j'ai eu si peur. Cette penser me hante et je suis terrifier! Plus que je l'es jamai été alors, alors si tu veu bien rester ici. S'il te plai. Le temps que tout se calme.

Lester ne souriait pas, en fait ses cheveux qui n'avait couper depuis un moment comencais a cacher ses yeux. Il pencha la tête, puis, tourna les yeux bleu vers seux de sa femme.

Pendant ce temps, à l'auberge, Soriel voyait le résultat du conflit qu'il avait manqué. Presque sans y penser, il se mit à reconstruire. Comme d'habitude. Il sortit les planches, une à une. Enleva les pierres et les flèches.
Il allait commencer à faire froid: Les citoyens avaient besoin d'un endroit chaud. Sur le toît, miantenant, il pouvait voir le champ de bataille qui lui faisait penser àla grande guerre et aux petites escarmouches vécues dans cette vallée.
Le duel contre Derzus...

Le druide arriva quelques instants plus tard. Il voyait le semi-El'neear à la tâche et le druide se disait qu'il pouvait aussi contribuer. Il savait que Maria était très ébranlée, elle était au moins avec son mari, c'était ce qui comptait.

Le sol était toujours couvert de sang et l'odeur était digne d'un marécage de Yarkhûl. Il laissa Soriel s'occuper de la porte, lui, il s'occupait du sol.

Alors.. Comment ca s'est passé?

Le druide tourna sa tête en direction de son ami.

- eh bien... nous nous sommes vaillamment défendu, compte tenu des forces qui étaient contre nous. cependant, ils étaient trop nombreux et nous, nous avions pas assez d'expérience... Ils ont fait un procès avec Dio, Myrtille, un des deux Arch'sitak et un aubergiste. Azura était la juge.. elle n'est plus de notre côté... elle est avec le Belosus.. elle m'a dit que c'est Dio qui lui dit de faire confiance aux Sin'neears... elle nous a attaqué.. sans scrupules... J'ai été le seul survivant avec Maria... Pendant le procès... j'ai essayé de les sauvés.. mais... j'.avais Hyrr, Kampher et Azazel qui me surveillait , je ne pouvait pas faire grand chose... et je devait protéger les Pierres... Myrtille à été "condamnée" à s'excuser et embrasser les pieds de tous les membres du Belosus qui ont été offensé... Dio a été écartelé... J'ai gardé son corps... pour protégé son âme pour qu'il ait une deuxième chance... Une vraie chance.. pas cette farce de justice... Si je revois Azura... Elle va payer...

C'est plutôt subit et la raison absurde.
Dio lui a dit de ne pas les voir comme des ennemis et elle l'écartèle en jugement.
Ca doit pas être aussi simple.

-Je suis entierement capable de réparé une porte seul Maria, dit-il d'un ton qui partu sevère. Si les gens te cherche, ils sauront te trouver ici.


Sa femme lui sourit, un sourir sincere et accablé a la fois. Elle savait bien qu'il en était capable. Lorsqu'il vint s'assoir pres d'elle, elle posa sa main sur la sienne et la serra doucement. Elle plongea son regard dans le sien avec un melange de sentiment quelque peut difficile a décrypter.

　
-Derien.
..

...Si tu veut mon avi, tu te surmène un peut trop. Ne tente pas l'impossible, meme si c'est ce qu'on te demande.


Elle baissa les yeux et fixa les draps. Effectivement elle portait beaucoup sur ses épaules... mais certainement pas trop. Ce qu'elle gardait pour elle n'etait rien face a ce que les autres suportait, elle repensait a tout ce qu'elle avait affronter avec Soriel voila quelque odémas... cela semblait enorme et pourtant ce n'était que le dixieme des chose qui rendait Vastania si hostile. Elle ne pouvait pas se permettre de craquer et encore moin le laisser parraitre au gens qui venait chercher son support. Pourtant ellevenait de craquer. Des larmes se remirent a glisser sur ses joues, elle était si faible. Elle se devait de continuer meme si tout cela semblait impossible a surmonter. Elle sentit le regard de Klarth peser sur elle releva les yeux. Elle s'éfforça de sourire pour lui car elle ce qu'elle perçut dans son regard lui serra le coeur. Elle ne voulait plus voir ce genre d'expression sur son visage. Maria sentit le malaise se poser, elle ressera alors la main de son cousin comme pour l'inciter a parler, elle ne voulais surtout pas de se genre de tension.

-Maria, tu sais... C'est ce type d'acte que je redoutait. J'ai peur. J'ai vraiment peur. Tout à l'heur, a... à la simple vue de la forge je me suis dit que si il t'était arriver quoi que se soit... Qu'il te soit arriver maleur. je serai... je... j... j'ai eu si peur. Cette penser me hante et je suis terrifier! Plus que je l'es jamai été alors, alors si tu veu bien rester ici. S'il te plai. Le temps que tout se calme.

L'Oomius eut l'impression qu'une main glacer vint serrer son coeur mais a la fois elle se senti toucher par l'inquiéttude qu'avait ressenti son epoux pour elle. Son visage se figea elle était visiblement affliger. Elle attira Klarth contre elle et le serra dans ses bras, si fort qu'elle aurait put l'empecher de respirer.
　
- Tu ne dois pas t'inquiétter a ce point de moi Klarth, ils ont peut-etre réussit a me faire craquer mais il est bien plus difficile que cela de me passer sur le corp.
　
Elle dessera un peut les bras , posa sa main sur son cou pres du visage et le dévisagea. Elle se mordit la levre inférieur quand il parla de prendre congé. Elle prit un grand respire, car apres tout elle devait se remettre des récent evenement et elle le savait et il semblait tellement terrifier a l'idée qu'elle retourne seule a l'auberge.
　
- Bien je prendrai conger pour une journée ou deux si tu insiste tellement.
　
Elle força de nouveau un sourire, Maria se doutait bien qu'il remarquerait mais au moin l'effort de le rassurer était la.

- Maintenant si tu permet j'aimerais prendre un peut de repos je suis exténuée.

(pendant ce temps, à l'auberge)

Le druide acquiesça d"un geste de la tête.

- Effectivement, ce n'est pas aussi simple que sa... Je te dis ce qu'elle m'a dit... Mais je ne sais pas les motifs dA'zura, il va falloir lui parler...

Il pointa la forge.

- Et pour la forge, c'est tout aussi ridicule. Le Belosus est venu tout saccager et on a fait le ménage... Ils sont venu se "venger" en soirée.. Quand ils ont vu que l'Auberge était devenu une Église de Daralys.. Ils étaient fou de rage.. Pour des gens qui se souciaient guère de ce bâtiment, sa leur a donné une excuse pour ce massacre et le tribunal.. Ils ont jugés des gens pour l'église, alors que le "coupable" n'était même plus là.. c'était un Inquisiteur de Daralys, Calidael, qui a changé l'auberge en Église.. Pas Dio, Myrtille ou les deux autres qui ont été jugés. D'ailleurs, c'était un procès complètement arrangé.. Samaeel était l'avocat de Dio et les autres, et dans le jury il y avait Kampfer, Azazel un qualistorien et moi-même... Je voulais tenter de les sauver.. mais j'étais étroitement surveillé par Azazel, Dio et Hyrr.. je en pouvais pas faire grand chose. Maria était dans l'auberge elle criait à chaque phrase qu'Azura, la juge, disait...

Il soupira.

- Dio, lui, a été écarteler plus par, ce qu'Azura a appelé, un outrage au tribunal... Car il faisait comme Maria...

(trop soap, j'adore ca!)


Lorsque Maria forca un sourire même si ses larmes coulait, Lester fit un visage qu'on aurait pu traduire par un ''awww, tellement cute!! ...mais fait moi pas le coup du ''Sa va, je suis forte'' a moi, parce que sa marche juste pas.'' Un sourire étrange se dessina sur ses lèvres.
　
- Tu ne dois pas t'inquiétter a ce point de moi Klarth, ils ont peut-etre réussit a me faire craquer mais il est bien plus difficile que cela de me passer sur le corp.

-Je le sais, lui dit-il en posan une main sur le flan de Maria pour lui rendre son acolade.

Lester bougea la tête sur le coter, il aurait pu sincerement rester comme ca indefiniment. Il était triste, vraiment triste et effrayer. Une multitudes d'émotions qui n'avait pas lieux d'être l'habitait. Un flo de sentiments effrayants le hantait. Pourtant il était fort, il l'avait été et le serait toujours. De la journé ou il c'était presque fait enterré vivant, à la mort de ses parents, jusqu'aux milles et un problèmes qui lui pesait, tout comme Maria, sur les épaules. Il n'avait jamai demander d'aide, jamai eu besoin de personne, jamai pleuré. C'était pareil pour sa femme et là, elle était briser. Il allait évoluer, comme il l'avait toujours fait. Les choses ne pouvaient pas rester ainsi...

- Bien je prendrai conger pour une journée ou deux si tu insiste tellement.

François relava simplement la tête et le haut du dos, pour être face à face à son épouse et lui dit solonelement:

-J'insiste.

Il resta la à la regarder plus longtemps que prevu, en fait, il fixa ses yeux. Pas un mot de plus. C'était si sec. Il était a peinte à dix centimetre d'elle. Se tenant droit sur ses mains enfoncé dans le lit moelleu il toisait le visage de sa femme avec ses deux yeux aux couleur des vagues. Était il possible de calculer l'intenciter d'un regard? de qantifier l'émotion dont était charger celui-ci? ...Combien de temps allait-il rester ainsi? C'était a se demander ce qui se passait dans sa tête. Lester respira avant de se mordre la lèvre inférieur. Puis il bati des paupières une fois et son regard était ailleur. Ses cheveux vinrent encore se poser devant ses yeux. Il se levait.

Lester marcha jusqu'a la porte et l'ouvrit. Avant de sortir il jetta un oeil a la femme qui était coucher dans son lit ...

-Bonne nuit Maria.

...et ferma délicatment la porte.

-Le belosus portait un intérêt pas si négligeable pour le batiment, Keb et Kampfer se servent de la forge, et l'alcool est populaire partout.

Soriel enlevait des flèches dans le plafond.

-C'est assez rare de voir autant de flèches, autre que celles de Azrael.

Le druide acquiesça d'un geste de la tête.

- Effectivement, mais je crois que sa leur a surtout servit de motivation pour le tribunal.

Falderas sourit à la mention des flèches.

- Azrael n'était pas ici, cependant un des Arch'Sitak, celui qui a été condamné par le tribunal, avait un arc... Le Belosus en avait quelques uns de leur côté aussi...

Des mains du Grand Druide, une légère lumière verte illuminait la journée. Le sang qui était abondant tout autour de l'auberge, commençait doucement à disparaître.

- Il y a eu quelques bonnes nouvelles, comme le golem qui a détruit deux monolithes et je crois savoir ou se trouvent deux autres Pierres.

Eh bien. J'aurais voulu voir ca. Ca me fait penser: On a un rituel a préparé, par exemple...

Lorsque la porte se ferma Maria se laissa tomber sur ses orreillers en pleurant. Elle serra ses bras contre elle au niveau de l'abdomen, ramenna ses jambe contre elle. Klarth pouvait surment l'entendre sangloter de haut des escalier, meme si elle tentait d'étouffer ses pleures. Ses larme etaient pesante de souffrance au point de la faire hoqueter a chaque fois qu'il inspirait.

A bout de force elle s'endormit, le visage caller dans son oreiller tremper, en position fetale.

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