L'errance d'une âme brisée...

Une petite pluie froide assombrissait la forêt rehaussant l'odeur des feuilles mortes. Un livre a la main la guérisseuse fixait la nature de par sa fenêtre de chambre. Elle voulait s'occuper car cela faisait déjà deux jour qu'elle était enfermer chez elle. Maria n'arrivait pas a ce concentrer des images hantaient sa mémoire, lasse de tout cela elle ferma dans un claquement son grimoire, puis le posa sur sa table de lecture. Elle se rapellait bien avoir promit a Klarth de ne pas sortir pour quleque temps mais si elle restait ainsi elle deviendrait aussi malinne qu'un fauve en cage. L'Oomius se leva laissant glisser la couverture qu'elle avait sur les épaules pour se dirriger vers sa commode. La femme fouilla dans ses vêtements et ressortit son ancienne robe brune, celle qu'elle portait a son arriver en Vastania. La tavernière avait promis de ne pas reprendre le travail, elle laissa donc suspendu ses vêtements d'aubergiste. Elle passa un chale autour de son coup et enfila sa grande cape de velour avant de se dirriger a l'extérieur. Maria descendit les escalier et chercha son époux du regard mais il semblait absent.... ou pouvait-il bien être passer? Elle soupira, elle avait un peut peur pour lui depuis l'attaque de l'auberge, il avait changer et ignorait ce qui ce passait dans sa tête. Elle sortit donc de chez elle ne suportant plus d'ête seule.

Malgré sa journé de repos la femme avait avec un teint cireux et les trait tiré. Ses yeux était marquer de la fatigue par deux petite demi-lune sombre, sa bouche n'affichait plus aucune trace de son sourir naturelle. La Maria joviale semblait disparaitre de plus en plus. Elle laissa ses pas la guidé a travers les bois trouvant quelque racine et feuille pratique a ses concoctions, elle les glissa dans sa bourse car c'était peut être les dernière de l'année. Sans même le réaliser elle se dirrigeait vers l'auberge, c'était surment son esprit insécure qui la ramennait vérrifier l'état du batiment au quel elle tenait tant. A chaque craquement de branche elle avait un leger sobre-saut et cherchait du regard si elle était suivit. Elle vit passer des homme du mal, elle retenait son souffle pour être sur de ne pas être vu. Elle avait peur.... pourtant elle n'avait jamais eu peur de marcher dans les bois auparavant.....

Maria eu droit a un spectacle rarement vu de si pres. Une biche et un dain marchant et brouttant tranquillement a peine a quelque mêtre d'elle. Les deux créature drèsserent les oreilles et la fixaient, leur naseaux laissait échaper de petit nuage de vapeur a chacunne de leur expéiration. L'Oomius posa une main pres de son coeur touché par cette vision. Les deux animaux repenchèrent la tête sans crainte face a la femme qui se tenait la. Elle eu une pensé pour Dalilya, étrangement elle se sentait apaiser. Elle continua sa route en écoutat le chant des outardes qui migre.

Voila qu'elle faisait face a son auberge. Elle resta la a fixer le batiment, quelqu'un l'avait réparé, du moin avait commencer, le sol n'empaistait plus le sang et avait reprit sa couleur. Elle suspectait Falderas d'avoir user de ses pouvoirs pour cela. Elle passa une main sur son visage et eut un petit sourire. Klarth n'avait surment pas fait tout cela seul, elle devait svaoir qui l'avait aider et les remercier du fond du coeur. Elle pénétra dans la batisse et l'inspecta. Elle alla s'assoir derriere son comptoire et caressa quelque objets du bout des doigts. Elle se mordit la lèvre inférieur, comme pour réprimer les larmes qui lui montait au yeux. Elle veriffia les tonneau d'alcool, la plupart était intacte. Elle se servit un verre du meilleur vin qu'il y avait avant de s'adosser sur sa chaise. Elle entendit quelqu'un descendre la cote, comparativement a son habitude elle ne sortit pas voir qui cela pouvait être, elle posa la main sur le pommeau de son épé et attendit visiblement stresser de voir qui apparaitrait sur le seuil de sa porte.

Une jeune tête aux cheveux bleu, un bout de baton et des yeux couleur ciel qui, apparement, cherchait quelque chose apparurent dans l'encolure du cadre de la porte.

-Je savais que je te trouverai ici!, lui reprocha il en mettan un peid dans le batiment.

Lester n'avait pas ses livres n'y sa canne, ses manches était retroussés, ses mains était sales, il avait laisser ses vetements de prètre à la maison, portant ses vieux vetement qui, après deux jour de rénovations, étaient propice au lavage. D'ailleur, quelques mèches de ses cheveux c'était rebellé ce qui lui donnai des air de garçon qui venait de se lever en plin millieux de la forêt. François portait un long baton sur son dos acrocher a un tissu. Il la toisa, elle qui avait la main sur son arme. Nen fit pas un cas et porusuivit:

-Je suis allez à la maison et tu n'y était pas... alors... *se gratte la nuque et lance un regard au mur, au plafond, ainsis qu'au planché...*

À cause de ses vêtements, l'oomius se dit qu'elle était venu ici pour prendre l'air. Il était content qu'elle est suivi son conseil. Il enleva son baton et le posa près de la porte avant de se diriger vers Maria.

-Tout le les gens responsable des réparations sont parti manger, ils sont suposer revenir d'un instant à l'autre, l'informa-t-il.

Arriver près d'elle il s'arreta et leva les mains pour repalcer son chale. Il pris une respiration et au lieux de dire quelque chose il laissa couler un silence. son geste par contre en dit beaucoup. Il arreta finalement de jouer apres les vetements de l'aubergiste avant de dire blus bas:

-Tu ...à besoin de quelque chose?

L'aubergiste reconnut son époux et se détendit d'un coup lachant son arme et passa la main dans sa propre chevelure non coiffé. Elle s'éforça de sourir a Klarth, sourire qui semblait si naturel mais que seul Francois pouvait discerner le non-naturel de celui-ci.

Je savais que je te trouverai ici!,

Elle prit un petit air accablé sachant bien qu'elle venait prbablement de le décevoir mais elle ne se supportait plus d'etre enfermer. Elle fronça les sourcil lorsqu'il entra, elle le toisa de la tête aux pieds, il etait en piteux état. Elle se doutait que c'est parce qu'il remettait son auberge en état, elle sourit, cette fois sincerement, en inclinant la tête de coté. Il ne pouvait imaginer a quel point tout ce qu'il faisait pour elle depuis quelque jour la touchait au plus au point.

Je suis allez à la maison et tu n'y était pas... alors..

Quand il fuya son regard elle se contanta de le fixer.

- J'ai décidé de sortir, enfermer sans rien faire j'avais l'esprit qui se torturait.

Lorsque Klarth arriva a sa hauteur elle lui prit la main et la serra tendrement. En plongeant son regard dans le sien. Étrangement elle ne bavardait pas beaucoup comparativement a son habitude.

Tout le les gens responsable des réparations sont parti manger, ils sont suposer revenir d'un instant à l'autre, l'informa-t-il.

Son visage parut s'illuminer durant l'espace d'une seconde.Des gens lui étaient venu en aide, cela etait encore possible. Lorsque son epou replaça ses vêtements elle le laissa faire et posa cette fois une main sur son bras en soutenant son regard.

- -Tu ...à besoin de quelque chose?

- non merci... j'ai tout ce qu'il me faut. Tu en fais deja beaucoup Klarth.... j'apprécie énormément.

Elle se leva .

- Je pourrais vous aidez.

Quel courte discussion... vraiment pas dans ses habitude. tout comme son langage corporel qui disait qu'elle etait encore tres affecter mais elle s'éfforçait de sourire et avoir d'elle forte.

Malgré son piteux état, Karth ne pouvais mieux se porter. Il était utile et il fesait tout ce qui était en son possible pour aider sa Maria. Il paru fondre quand elle lui pris la main, il approcha son visage d'elle et l'embrassa... sur la joue. Comme il avait l'habitide de faire.

- non merci... j'ai tout ce qu'il me faut. Tu en fais deja beaucoup Klarth.... j'apprécie énormément.

Ses lèvres sétirèrent en un large sourire, il était fier. Il dit sur un ton légé, prèsque humoristique:

-Je serais un mari horrible si je ne venait pas en aide à ma bien aimer lorsqu'elle en a besoin.

- Je pourrais vous aidez.

À cette phrase les yeux de Lester rapetisèrent. Il regarda Maria comme si elle venait de lui demander pour la centiemme fois quelque chose qui était impossible a donner. Il hausa les sourcils l'air de dire ''ha oui, tu me demande ca hien?'' en hochan la tête comme si la demande était gigantesque. Il se frota le menton dans une réflextion intence.

-Hummm...

Il passa son regard sur des objets dans la piece en se tapotant les lèvres du bout de l'index.

-Il faudrait... Il faudrait un coup de balai et... et un sacré coup de torchon... Neioyer les vittres...

Il continua de garder son air sérieux pendent un moment, puis rit tout seul.

-C'est bon, dit il en levant les bras au ciel, J'ai compris, on ne peut garder une Lester en cage. *il passe a coter de Maria pour prendre un bout de bois et de métal qui ressemble a une rape* Mais ne te surmène pas!

Derrière le comptoir de l'auberge un parchemin roulé attendait patiemment. Il était roulé, une sorte de vigne le retenait et deux feuilles jaunâtres accompagnait le tout. Le parchemin était écrit en langue commune, voici ce qui était écrit.

Citation :

Pour Maria,

Maria, je suis encore une fois désolé de ce qui est arrivé ici. Tu as été entraînée dans une histoire dans laquelle tu ne voulais pas jouer un rôle, et pour cela, j'en suis désolé. Soriel a réparé la porte d'entrée, j'ai enlevé tout le sang sur le sol, Calidael est venu prêter mains fortes et il te cherchait, François est également venu.

Nous sommes tous la pour t'aider et nous voulons tous te voir mieux. Si jamais tu as quoi que se soit, vient me voir moi ou Soriel, mais plus important, va voir ton mari, tu as son amour inconditionnel, il est fantastique...

Repose-toi, autant de temps que tu croiras nécessaire, nous allons jeter un œil sur ton Auberge pendant ce temps. Je n'ai pas aimé et je n'aime pas encore, te voir dans l'état que tu étais. Tu nous es très précieuse, Maria, que tu me crois ou non, mais c'est le cas. Si jamais tu as besoin de parler, fait-moi signe.

Falderas Galanodel
Grand Druide de Vastania.

En ce relevant la femme remarqua le parchemin sur le comptoir. Elle le prit et le déroula elle lut rapidement la contexte et sembla visiblement touché par ce qui y etait ecrit. Ses yeux s'emplirent de larmes, mais n'en laissa aucune s'échapper. Elle posa une main sur son buste, son tique habituel, et leva le regard vers son époux avant de rouler de nouveau le parchemin.

- Bien je vais tacher de ne pas me surmener... tu veux que je t'aide avec ça?

''il est fantastique... ''

-Je suis fantastique, avait redit avec un pointe d'humour lester a haute vois qui lisait par dessus l'épaule de Maria.

- Bien je vais tacher de ne pas me surmener... tu veux que je t'aide avec ça?

-Non.

Non?

-Non je veu que tu te change les idée, que tu ne t'éloigne pas trop et surtout fait ce don TU a envie.... mais si tu veut passer le balet, sa m'éviterai de le faire.

- Mais c'est quoi cette réplique!

Soriel était assis dans la forge pour manger. Il était revenu pour prendre son repas et avait laissé le couple discuté seul. Mais cette manière qu'avait François de la repousser pour qu'elle fasse ce qu'ELLE voulait en lui demandant de faire les choses qu'il n'aimait pas faire.

- Tu es fantastique, c'est vrai. Mais çà, C'était pas respectueux, qu'en même!

Lester qui avait dit sa pour rire eclata de rire. Un rire franc et sans aucune mauvaise intention.

-Ne vous en faire pas Soriel, Maria a asser de nez pour me faire faire la lessive si je suis malveillant avec elle.

Il continua son chemin avec la rape a bois et sorti pour aller raper un planche qu'il avait entamer, sourire au levres.

La tavernière sursauta lorsqu'elle entendit la voix de son ami. Il lui fallut la deuxième remarque pour reconnaitre la voix. Elle soupira et posa une main a semi tremblante sur son buste. Maria se disait de plus en plus qu'elle devait reprendre le controle d'elle-meme. Elle se dirrigea vers la porte pour le saluer lorsqu'il se trouva assez pres d'elle, la guériseusse lui saisit une main qu'elle serra entre les siennes et posa sur lui un regard emplit de gratitude.

- On ma dit pour l'aide que tu as apporté ici, je t'en remerci du fond du coeur.

Elle n'avait pas réellement porté attention a leurs autres commentaires. Elle savait bien ce qu'elle pouvait faire ou pas. Ça ne la genait pas le moins du monde ce Klarth venait de dire. Faire part de la reconnaissance qu'elle avait pour le simple geste qu'il avait eut. Il n'y avait pas que son regard qui l'exprimait, mais aussi sa physionomie et la façon dont elle lui serrait la main.

Soriel fut infimement décontenancé par le remerciement de Maria. Il savait qu'elle était toujours intense dans ses émotions.
Il répondit rapidement:

-Ce n'est rien. Après tout, c'était ici ma maison avant que vous n'arriviez en Vastania. C'est tout ce que j'ai, matériellement.

-Non, je vais t'aider Djada, avait lancer rapidement Lester en levant vers Soriel le bras pour dire qu'il s'en chargait.

Il la fuilla presque du regard pour dire ''reste avec Maria''. Apparement, si djada avait une déclaration a Soriel, sa allait ENCORE devoir attendre.

Lester suivi Djada des près. Croyait-elle qu'il ne l'avait pas vu? Croyait-elle qu'il ne se rendait pas compte de tout ses mensonges. Enfin, pas de tous.... Mais lester voyai bien que quel que chose clochait. Il l'avai vus des son arriver, il c'était approcher et se préparait a s'accoter nonchlament sur l'exterueur de la batisse.

Il c'était arreter, l'avait toiser, puis, lorsque ses genous avait faillit, il avait accouru vers elle. Il la suivait, il la suivait nerveusement...

Lorsqu'il fute loins des oreilles indiscrette François laissa échaper, boulversé et conserné:

-Il va bien faloir que tu me dise ce que tu a en tête un jour Djada...

Il la regarda avecun regard des plus sérieux.

Soriel se leva prestement à la chute de Djada. Il vit le symbole apparaître sur son front et se dit que çà ne pouvait pas tomber si mal.
Djada risquait encore de sombrer de la vice en même temps qu'Azura.
À ce moment, Lester se leva rapidement pour aider Djada en lui montrant de rester loin.

Il s'avanca tout de même lentement pour rejoindre Maria, debout devant l'auberge.

Voyant qu'elle mettait son ami mal a l'aise elle lacha prestement sa main. Elle s'était encore une fois laisser emporter par ses émotions. Ses joues prirent une petite teinte rosé.... ce ne devait etre que le froid.

- Je vous en remercie tout de même.

Des bruit de pas lui firent tourné rapidement la tête. Elle semblait sur le coup appeuré mais quand elle reconnut Djada ses épaules se détendirent. La pauvre femme semblait en piteux états. Que pouvait-il bien lui être arrivé, a chaque fois qu'elle rencontrait cette elfe elle était toujours prise dans des conflit et dilème trop grand. Elle remarqua son front, mais qu'est-ce que c'était ce délire? Elle plissa les yeux comme si elle cherchait quelque chose d'autre d'étrange.

Lorsqu'elle tomba a genoux Maria s'élança vers elle mais au geste de Klarth elle ralentit le pas et finit par cesser d'avancer quelque pas plus loin. Elle se situait a quelque enjambé de son époux. Voyant que Soriel avait fait de meme elle tourna son regard vers lui, emplit d'intérogarion avant de revenir a Djada.

- Vous allez bien Djada? Laisser l'eau vous devriez venir vous assoir a l'intérieur.

François aida la femme a se lever et l'enmenna plus loin. Cet idée ne lui plaisait pas et cela était plus que flagrant. Elle s'était crisper lorsqu'il lui avait tourné le dos. Elle prit un grand respire, cela ne servait a rien de le prendre ainsi... il allait simplement aidé une amie qui en avait besoin apres tout... Elle reprit la direction de son auberge elle commnçait a avoir froit puisqu'elle avait laisser sa cape pres du feu.

La tavernière jetta un coup d'oeil a Soriel ne sachant ce qu'il allait faire. Une fois a l'intérieur elle alimenta le feux et frictionna ses mains pres de celui-ci.

Soriel attendit devant l'auberge. Il se retourna vers Maria lorsqu'elle rentra dans l'auberge. En réaction à son questionnement, il dit simplement:

- Elle veut me parler. Ca n'augure rien de bien, mais ce n'est pas un de tes problèmes. C'est déjà bon qu'elle veuille m'en parler.

L'Oomius a la chevelure bleu se retourna vers son interlocuteur, apres avoir posé une bouilloir sur le poêle.

- Du thé?

Elle se dirrigea derrière le comptoir et invita Soriel, d'un signe de main, a venir s'assoir pres du comptoir.

- Elle veut me parler. Ca n'augure rien de bien, mais ce n'est pas un de tes problèmes. C'est déjà bon qu'elle veuille m'en parler.

'' Ce n'est pas un de tes problèmes...'' Elle eut un pincement au coeur. Auparavant quand quelque chose ne tournait pas rond il lui en parlait, evidement il gardait certaine chose pour lui... Disait-il cela parce que ça concernait sa soeur ou parce qu'il avait peur qu'elle craque de nouveau.

C'était une chose qu'elle ne voulait pas entendre. La guérisseuse ne voulait pas être écarter.... mais peut-être imaginait-elle des choses... elle avait du mal a controler ses émotions, ses pensé et ses crainte depuis quelque jours. Elle souhaitait seulement que c'était normale et que cela passerait.

On put sentir une petit crainte dans sa physionomie mais elle la cacha en se tournant pour verifier l'eau sachant pertinement que cela était loin de bouillir.

- Peut-etre devriez-vous les rejoindre. Si elle est venue vous chercher c'est qu'elle a besoin de vous et non de Klarth.... j'ignor de quoi il se mêle encore mais cela ne semble pas le concerner...

Elle fronça les sourcils et exprima un sentiments que son ami avait surment jamais vu sur son visage. Cela ressemblait a de la jalousie... mais mélanger a autre chose. Elle ne regardait pas Soriel mais fixait obstinément le chemin par lequel ils étaient partit.

Elle observa ensuite Lester un moment, peut-être que c'était une autre crainte qu'il avait...

Lester, laisse Soriel nous joindre si tu veux bien.

Elle posa sa main sur celle de François, de manière délicate et habituel. Tu enttendra tout l'histoire une fois pour toute en même temps que lui. Il doit savoir, j'ai longtemps étiré le secret, pour ne pas le blesser maintenant c'est si je garde le silence qu'il est en dangé. Le seule à connaitre tout le fond de cette histoire, était Argus, et il en était dégouté c'est pour te dire...

J'ai à peine 160 ans Lester...

Elle prit un respire...

Soriel en à plus de 20... Imagine donc à quel âge j'ai du le mettre au monde...moins de 140 ans...Ça fait quoi en humain... 13 ans... Crois-tu réelement que tout cela m'est facile à comté ou à assumer.

Mais peut-être je fais fausse route? Peut-être crois tu en autre chose de ma part? Tu veux savoir ce qui se passe dans ma tête. Mais quel partie veux-tu savoir? Celle qui te concerne? Elle est sous ma poitrine à gauche et non en ma tête...

Puis se voulant rassurante ne sachant plus ce qui était vrai ou faux par rapport aux rumeurs...

Ne t'inquiète pas elle ne se situ pas en mon ventre...

Quelqu’un frappe à la porte de l'auberge. D’une voie ferme il dit :
-Si tu frappes on te répondra. L'homme ne vie pas seulement de pain mais il en a bien besoin !

Soriel se retourna pour voir le nouveau venu.
Encore un nouveau, pensa Soriel, je n'ai pas le temps pour çà maintenant.

L'aubergiste revint pres de son comptoire pour accueillir le nouveau venue.

- Bien le bonjour monsieur.

Elle tourna le regard vers Soriel. Il y avait plein de chose qu'elle voulait lui demander, mais lorsqu'il y avait un client elle devait faire son travail.


- Soriel j'aurai a vous parlez quand j'aurai finit avec mon nouveau client.

Sur ce fit de nouveau face a l'inconnu.

- Puis-je vous aidez monsieur?

François, cette fois, s'appercu qu'il était peut-etre de trop. Il se tais en laissant parler l'elfe puis, ses yeux semble s'ouvrir de plus en plus. Il est supris, mais il semble reflechir et tout a l'aire de prendre sa logique.
　
''Mais peut-être je fais fausse route? Peut-être crois tu en autre chose de ma part? Tu veux savoir ce qui se passe dans ma tête. Mais quel partie veux-tu savoir? Celle qui te concerne? Elle est sous ma poitrine à gauche et non en ma tête...''

Il l'enlasse tendrement et lui frotte le dos de la mêm façon qu'elle a l'habitude de faire avec lui.

-Je veut simplement savoir pourquoi tu a parfois cet air triste sur le visage.

''Ne t'inquiète pas elle ne se situ pas en mon ventre...''

Il rit d'un rire qui laisse dire : ha tu est incorigible Djada, puis il reprend plus sérieusement en se détachant d'elle:

-Tu ne fait pas fausse route ma belle, Je n'aime pas voir les gens qui m'entour briser par des secrets ou des remors. Tu ma vraiment effrayer en t'éffondrant comme ca. Je comprend très bien ce qui tarrive Djada, *il fait un pause car Djada lui a déja dit que meg lui avait tout raconter* Je me sent mal, c'est a lui que tu voulait le dire pas a moi j'imagine. Tu veu que j'ai le quérir?

-La servoise tiede enrichit l'âme.
Qui mange bien dors bien.
Dit le nouveau venu à l'aubergiste.

Elle répondit à Lester le serrant dans ses bras tendrement aussi.

Lester, tu sais que je t'aime...

Se rend comte de ses paroles.

Enfin... Je veux dire que j'aimerais que tu reste quand je parlerai à Soriel. Je ne crois cependant pas que ta femme, pourrait écoutée où serait prête à tout entendre cela, elle peut cependant elle aussi venir si elle le désir. Surtout elle ne semble pas apprécier notre proximité. Enfin, elle lui fit un sourire tendre, ta présence m'aiderais à tout raconter et me donnerais la force de tenir jusqu'au bout.

Elle senti alors tout la douleur faite en se moment par le dragon noir qui aimait lui rappeler sa puissance...Elle du se concentrer fortement afin de ne pas répondre à l'appelle du chaos...

Va chercher Soriel, cela me ferait plaisir.

Elle lui fit un sourire, aussi étrange que la douleur et les vertiges des appelles la faisait souffrir, elle se sentait seraine et prête à tout dire.