Une demande ver l'infini

François était au temple depuis le coucher du Soleil. Il avait entamer mille et un préparatifs en vu de faire passer son message a Relin: Lui demander de lui accorder ses pouvoirs de nouveaux. Il allait être minuit alors qu'il déposait le dernier objet à sa place. Comme toutes les religions, la priere avait son petit rituel; une facon de parler, de bouger, de mettre en places des objet, de formuler une demande. Chacune avait un emplacement spécial un moment présis, un habis special, une faço de se tenir. C'était avec tout ce qu'il avait apris que L'Oomius se tenait là, fervant comme personne, en apliquant toutes les lois qu'il avait appris sur cette facon de faire une priere convenable.

Il bougea son vêtement avant de mettre humblement un genous par terre, suivit de l'autre. Il était à meme le sol, nud peid, à l'exterieur du temple, sous une pluies d'étoiles qui sintillait en silence. Il fit un signe avec sa main.

-Relin, avait il dit solonellement en fixan le ciel.

Un leger silence passa, sa voix claire et vraie perca le silence.

-Je vous remerci modestement de tout ce que vous avez pu me donner. De chaque opportunités que vous avez prise pour me prevenir du danger qui allait s'abattre sur la tête des gens que j'aime. Grace a votre sagesse, j'ai pu sauver des vies et rétablir mainte fois l'équilibre. Grace a votre bienveillance j'ai pu croire en ce que j'aimai. Vous avez toujour été present, votre magie, votre conaissance en particulier lors de mes voyages. C'est avec tout ma dévotion que je m'adresse a vous cette nuit. J'en fait avec toute consience l'éclat: Je suis pres a devenir un de vos subséquant.

Il se trouvai devant lui des chandelles qui formais le signe bien connu de l'infini. François, fémissant de froid dans la nuit, pris un bout de ce qui ressembalit a un symbol des serpent dans une magnifique moulure de métal. Sa voix résonante repri lentement:

-Je me refuse à être seul un instant de plus dans mes démarches pour la connaissance. J'ai des vies à protégé en votre nom. Un équilibre a maintenir. Les gens on besoin de savoir qui vous êtes. Ils on besoin de votre sagesse. Laissez moi être le vaiseau de vos dogmes. Permetez moi de transmettre votre histoire a tout seux qui soufre de ne pas la connaitre. De leur faire ouvrir les yeux sur les possibilités de l'infini. Je suis ici à vos pieds, espérant rien de plus que votre consentement. Aviver ma soif de savoir en relancant la votre. Départiser vous pour mieux vous attribuer mes mérites que je vous accorderai toujours. Le vide éprouver par l'absence de votre présence na pu que me faire prendre conscience de l'erreur que j'avai fait. Vous êtes présent ou que j'aille et cela se fait sentir des que j'en est le besoin. Je suis la pour aceuillir ce don que les votres n'accordes qu'aux dévo. Je répondrai a votre apel et je ferai celon votre volonter, Relin.

François était décider a mourir d'hypotermie et a ne pas dormir tant qu'il n'aurait pas le certitude que Relin veuille bien de lui. Il poursuivit en déposant ici et la des objets, béni, gracier, important aux bon endroit. Le sybol de son dieux, il le colla contre son coeur. Il lui était impossible d'être plus honnete en se moment.

Il parla longuement, il était apparemetn décider a définitivement prendre le flabeau de pretre. Il avait été efficace, certe, et il le serait que plus puisque cette fois, c'était de son plin gré qu'il prenait la désision. Il semblait plus fort, plus vif et plus passioner que jamai. Le temps passa avant qu'il ne soit arriver au terme de sa prière:

-Des Millards de vents se sont passer depuis que j'ai clamé voter nom en combat. Pourtant ce vide ne dor pas et je veu le comblé, non pas par dépis mais par une déscision réfléchie, ardue et assidue. Vous êtes sans relache au dessus de nous, en silence bien souvant... Permeter moi de guider les hommes en vos absences! Votre sintillement ne poura que les attendrent au plus profond de leur coeur et je n'en serai que plus heureux.

Il pris un étrange respire, comme si quelque chose allait le faire craquer, il se confia finalement apres avior fait sa demande:

-Je suis a court de soufle et mon ventre se tord par la simple pensé qu'il puisse arriver quoi que se soit à Maria. Et... et maintenant, je comprend pourquoi vous me l'avez envoyer et dois vous remercier. Vous remercier comme jamai.

L'Oomuis serra les bout de métal glacé dans sa main.

-Je suis la, abordan les couleurs les plus nobles qui me soit de porter et je perpéturai cette habitude si tel est votre désir.

Soriel était au temple pendant la prière de Lester vers leur Dieu commun.
Il savait assez bien ce qu'il allait faire du moment du moment que l'Oomius lui avait demandé son encens.
Il se devait de protéger celui qui avait toujours représenter Relin en Vastania.
De lui apporter son support lorsqu'il se levait pour les siens.

Soriel avait aussi l'âme dirigée vers Relin. Le destin approchait et Soriel ne pouvait qu'espérer que tous seraient à la hauteur de leurs convictions. La situation était d'autant plus imprévisible que les forces en présence pour maintenir une balance précaire entre la vie, l'espoir et la destruction. C'était justement de prévoir le futur qui en résulterait qui le troublait. Il devait être patient pour voir les signes et analyser les conséquences de leurs actions qui éviterait peut-être une autre catastrophe. Mais attendre était un luxe qu'une seule partie de lui se permettait.

Il envoya silencieusement ses vœux à Lester pour qu'il trouve se dont ce dont il avait besoin pour surmonter ce fardeau stoïquement.
Et à Relin sa volonté indéfectible de protéger les gens de leur propre insouciance et de découvrir les limites du secret.

Le souffle froid du vent à l'extérieur du temple se faisait sentir, puisque le temple n'était jamais fermé, faible, mais froid et mordant, en ce début d'automne. Évidement, la nuit était toujours précurceur de froid de ce genre et de plus en plus le monde se versait de plus en plus en ce sens...vers la saison de la mort, l'hiver.

Une brise passa et fit vibrer les minces flammes des quelques chandelles disposées devant le jeune Oomius qui se baigne toujours autant dans la connaissance. De nombreuses pensées se déversaient en son crâne, vu à toutes les situations vécues ou qu'il vivrait possiblement.
Le savoir des monolithes restants...leur protection...la magie divine les entourant. À savoir aussi, en ce sens, de savoir réellement ce qu'il fallait faire pour retirer, des mains de la noire Déesse, la puissance qui s'y accrochait...par les items...items de force...purs...voir extraordinaires........y arriveraient-ils tous ensemble à briser ces boucliers?

Encore là...d'ou venait réellement le golem...créature créé par magie...pierre solide...durcie et brise les armes à la longue. Que de force, que rien...ou à peine...peut entamer. Y avait-il quelque chose à faire de plus...ou était-ce que d'un passage pour arriver à la...fin? Le souvenir de combats s'immiscèrent et laissèrent place à la turbulence de moments de violence et de haine en son coeur et dans ses pensées.

...esprits...souvenir du passé...les pierres spirituelles. Ou étaient-elles toutes, les restantes? Le reste? Qu'en resterait-il? Qu'adviendra-t-il s'ils restent prisonnier...ou s'ils sont libéré? Doute ou certitude?

Une chandelle s'éteigni, laissant perler une goute de cire, qui prit, vite fait par le froid, une forme allongé. Rien de perturbant, que de la normalité en ce sens....
...lourd, silence, léger, cri....de son regard triple, il a vu et sait ou. Spirituel il est et restera...calme...ou encore chaos caché? Douze elles sont et seront toujours...ceux et celles du haut plan s'en gardent garant.

La chaleur des mains de Francois passait à l'objet de métal qu'il tenait, faisant en sorte que celui-ci était plus aisé à maintenir...le froid n'y était plus, ou presque...sauf celui du dehors. Ses mains brûlantes, de chaleur en son coeur, de froid de surface...
...comme la surface d'un globe...sous sa croute que brûle la lave des volcans. Sous terre? Qui a-t-il sous mes pieds?
Ils ont parlés ... ruiné leur monde ... que cherchaient-ils...ou est-ce qu'ils cherchent encore?


Et ce dieu chaotique...sa prison...dragon noir, pur folie et fureur...destructeur. Argus...surement un jour, il faut attendre le pire...qui sait...ne serait-ce que Relin bien sur, sait.
Savoir, connaissance....lumière de nos vies...pour s'éteindre à l'infini...pour s'étendre à l'infini... Il sait, pourtant...croire savoir et savoir...deux choses...
Plus loin ... nous ne sommes pas seul à douter ... à se demander ... à craindre...combien de terres? Ne serait-ce que simplement ca. Imaginia...sous l'eau...pourtant Azura..........le monde berce dans le chaos et les ténèbres.



Puis les pensées de Lester stoppèrent là, aussi brusquement que s'il venait de rentrer tête première dans le golem lui-même. Le froid le ramenant peu à peu à la réalité de sa vie et de ce qui l'entoure. Il ne restait qu'une seule chandelle allumé maintenant...le temps avait passé si vite...

François ne savait pas quand il avait baser la tête pour plonger son regard dans la flame qui avait frémis mais une sorte de transe l'avait emporter comme le vent emporte des feuilles l'instant d'après.

Il n'avait pas fermé les paupières, il avait fixer de ses yeux bleu la flame encore en encore. Omnibuler, absent. Après tout ce temps. Un légé mouvement d'iris montra qu'il reprenait lentement consience. Cette crise de questions eu autant d'effets sur lui qu'une clef dans une serrure. Le jeune homme n'avait plus froid dutout il était envahi par une chaleur nouvelle.
Les ruines sous Vastania, les momolythes, le cristal de Zalénor, songea il en comprenant... et les trois déesses majeure, MON DIEUX! douze contunua-t-il de pensé? Lily... allait devoir lui confirmé ses doutes. Du moin Relin venait de le faire. Les étoiles, toutes les étoiles!! il n'était pas fou, ils n'étaient pas les seuls. Quel, mensonge! Imaginia. Azura.

-Azura sais pour Imaginia, dit il en se levant tout bas pour lui même.

Il se disait que peut-etre qu'Azura savait quel que chose que lui ne savait pas. Peut-être y avait il des survivant? Il venait de se trouver un nouveau but, communiquer avec les gens des autres planette. Le jeune venais d'avoir ses 16 ans, mais il allait faire des grandes choses c'était certain.

François était loin de se douter que Soriel était encore sur place. Il rangea ses choses rapidements. Peut-être qu'il y avait des survivants. Mon dieux que si peu d'informations pouvais le mener sur mille et une pises. Il fit un face a face avec le demis elfe dans les ombres du temple et sursauta.

-Ha, Soriel, vous mavez fait peur!

Il resta la a le regarder, intriguer par sa presence. Il était tard après tout.

-Ca marché!, lui confia-t-il tout heureux avant de mettre son bras devant sa bouche parce qu'il baillait.

Lester ne vit pas dans l'ombre que Soriel avait les yeux fermés quand il arriva. L'attente avait tellement été longue que Soriel s'était endormis sur place: debout et imperturbable. Il avait vu Lester tomber en transe et ses murmures de questionnements. Après une heure ou deux de vigilence, il avait laissé son esprit voguer sur ses hypothèses et s'était endormis.
Il s'éveilla en sursaut au son de la voix devant lui.

- Hein? quoi? Quest-ce qui a marché?

Il fini de bailler et l'acha un rire. Il ne savait plus comment l'expliquer a Soriel, il pris le chemin le plus facile:

-Je suis prêtre de Relin à nouveau.

Il lui donna deux tape dans le dos avant de déclaré:

-Vous dormez debout mon ami, allez donc rejoindre votre caravane. Je vais moi même allez me coucher.

Il fini de ramasser ses choses et enfila ses souliers avant de sortir.

- C'est aussi simple que çà.. Tout ce que ca prend, c'est de la volonté. Pour moi, tu n'a jamais cessé de l'être.
Mais bon, monsieur, monseigneur. Par ici.

Fit-il en se frottant les yeux. Il se demandait tout de même ce que Lester pensait changer en faisant cela.

Une bonne nuit de sommeil nous fera du bien.