À la recherche d'une solution

''Par une belle nuit a ciel découvert, Azazel se demanda coment avoir une solution a son problème. Car depuis plusieurs semaines après la guerre qu'il trouvait vraiment ennuyante du au fait qu'il n'est pas pu tuer des personnes comme il le souhaitait.Mais par contre il
trouva quelque chose qu'il chercha depuis plusieurs lunes. Une chose que pour l'avoir il lui faudrait affronter la souffrance et une grande bataille encore plus grande que cette petite guerre de pacotie. Donc le grand inquisiteur de Yarkûl décida de se diriger là ou l'action c'était faite la dernière lune.Azazel finit par sortir de son campement avec sa masse dans la main gauche et son bouclier dans l'autre main et il se mit en marche vers l'auberge et la forge. Après quelques minutes de marche il s'arrêta près de l'auberge là ou il revisualisa tout la scène de la dernière guerre entre les deux glans et surtout la fin ou l'inquisiteur de Daralys c'était percher sur la corniche de l'auberge en priant sa déesse de l'aider et refusant de se battre contre lui pour ensuite se laisser tomber au sol et avant même d'avoir toucher le sol il disparue dans cette pierre. Cette pierre qu'il convoitait le
plus. Il savait que pour l'obtenir il devrait souffrir beaucoup mais il était près a courrir se risque. Alors Azazel s'approcha ou la pierre aurait du tomber. Il se
penchant et observant le sol.''

*Où est-elle passé cette putin de pierre, et comment a-t-il pu faire une chose pareille. Moi est-ce qu'un jour je serais capable de profiter de cette capacité ma fois bien interressante et elle pourrait m'être très utile.*''pensa-t-il''


''Puis un bruit se fit entendre derrière lui mais Azazel était trop occupé pour sepréoccupé de l'origine du bruit car il était là pour trouver une solution à son problème.''

Le tormant reignait toujours dans l'âme de Maria. Son sommeil intéromput en tout temps par des cauchemards. Elle revoyait sans cesse la mort voiler les yeux de sa première victime. Incapable de retrouver le sommeil elle décida de se lever prenant grand soin de ne pas reveiller son epou. L'Oomius alla a sa pendrie prendre des vêtement chaud, elle se devait de retourner voir ce lieux qui avait lui était un endroit de paix... mais aujourd'hui celui de ses cauchemards. Elle refoula une monté de larmes durant sa marche en direction de l'auberge. Elle ne devait plus craquer. Elle dessendit la cote et remarqua une présence. Elle posa la main sur son arme et dégaina, c'était un nouveau reflexe dut a son tromatisme. Elle avança a pas feutré et pressa la pointe de sa lame dans le dos d'Azazel. Comme elle était a présent assez pres de lui elle le reconnut, son visage se crispa de colere, de haine et de dégout. Sa main tremblait de fureur ainsi que tout son corp elle voulait l'égorger vif sur le moment mais elle en était incapable son corp, meme tremblant, était figé a cette pensé. Elle lui adressa la paroles, l'arme toujours appuyer dans le dos de son ennemis. Sa voix était a peine plus fort qu'un murmure, mais perceptible par son interlocuteur, et tremblait de tout mais certainnement pas de peur.

- Comment peux-tu osez revenir ici...

Elle n'arriva pas a articuler plus que cela. trop d'émotion a la fois ce bousculait en elle pour la laisser reprendre le controle.

( S'il se releve ou se tourne vers elle, Maria laisse sa lame appuyer sur lui de maniere menaçante )

''Sur ses dernière parole Azazel sortit de ses pensées il fut surprit de sentir une lame qui était accoté sur son dos, car celà faisait longtemps que personne avait eut le courage de le menacer. Donc l'inquisiteur se releva sans faire de geste brusque et il se retourna vers son agresseur. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres le même sourire qui avait l'habitude de faire quand ses plans machiavélique marchait.Puis il lui dit calmement:''

-Comment j'ose venir ici? Vois-tu ma chère Maria je suis en ses lieux justement pour comprendre qu'est-ce qu'il c'est vraiment passé car je ne le sais pas si tu le sais mais moi je ne me suis pas mèler à cette guerre ma foi ennuyante. Et en passant aurait tu l'obligeance déloigner ton petit curdent de ma poitrine sa devient agressant a la fin.

''Voyant que Maria ne voulais pas baisser son arme, Azazel tourna les yeux en signe de découragement et tout d'un une sorte d'énergie fit reculer Maria et la lame de la dague qui était toujours orienter vers sa poitrine recula aussi jusqu'à ce qu'il atteigne une distance de 5 mètres.''

( terminer sur Msn )